31 déc. 2019, 00:09
Au matin, dès 7 heures, un déluge de feu s'abattit sur les positions militaires rebelles. Libes le savait, toutes les écoles militaires l'enseignaient, un bon assaut d'infanterie débutait toujours par une bonne préparation d'artillerie. Surpris dans leur sommeil, les miliciens ripostèrent tant qu'ils purent.
On essuya les premières pertes dans les ruines du Sénat que les milices occuper sous la direction de Georges depuis quelques heures, finalement, dans un déluge de lumière, l'armée républicaine lança un assaut au sein des ruines, débuta alors ce que l'on nommera, " L'ultime sursaut royaliste " ou bien simplement la bataille de Sénat.
Après plus de trois heures de combat, l’artillerie se tut au loin, Libes réalisa alors que les troupes républicaines venaient de briser le front dans les champs au nord de la ville, une brèche était donc ouverte.
Finalement, Georges donna l'ordre de l'assaut à la première brigade , qui , jusqu’à maintenant garder les ruines. Cet assaut fut l'occasion pour les officiers de se couvrir de gloire. À la tête de ses deux régiments d'infanterie de ligne, ils prirent d'assaut le plateau où les troupes républicaines terminer de mettre hors services l'artillerie royaliste, malheureusement la tentative fut veinée, l'armée de la république bien supérieure en nombre comme en équipement fut écraser, quelques rebelles avinés tentèrent une fuite, mais ils furent rapidement capturés par les forces de Fel.
Au matin du 31, le drapeau de la République flottait sur le faubourg Ouest (ruine du sénat). L'armée républicaine en prenait possession, sous l'éclairage des torches ont arrêté les derniers royalistes, Libes lui-même fut capturer dans les ruines, avant 17 h, la reddition fut signer par le chef de la rébellion, NewLite n’était plus ....