Alma Wikström

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

En janvier, nous avons célébré les 100 ans de notre Constitution. Sans aucun doute, le Saphyr est une grande démocratie libérale, et nous devons en être fiers. Mais la démocratie n’est jamais un acquis. Nous devons toujours la préserver, et ne jamais tolérer les pratiques politiques qui l’affaiblissent.

Malheureusement, les gouvernements Bold-Carlén ne nous ont que trop habitués à des pratiques contraires aux principes démocratiques, qui ne peuvent que saper la confiance populaire dans notre capacité à résoudre pacifiquement nos différences. Or, cette confiance est indispensable au maintien de la paix civile à long terme.

Dans la législature qui s’est achevée, nous avons vu Ivan Bold tenter de piétiner la démocratie parlementaire en dirigeant un gouvernement minoritaire composé d’un unique parti qui n’avait reçu qu’un quart des suffrages, puis en maintenant ce gouvernement après le vote historique d’une motion de défiance à son encontre. Son successeur Mattias Carlén s’en est, lui, pris à la démocratie sociale en tentant d’imposer sans véritable concertation une réforme sociale aussi majeure que brutale, malgré une opposition coordonnée des syndicats et de millions de citoyens dans nos rues.

Nous devons reconstruire notre démocratie. Cela passe par la réaffirmation du rôle central du Parlement, cœur vivant de notre démocratie. Cela passe aussi par un retour de la confiance dans les processus de démocratie sociale, avec une confiance renouvelée dans les syndicats qui défendent les travailleurs. En bref, nous devons redonner au peuple saphyrien l’assurance que notre démocratie est fonctionnelle à tous les niveaux, pour lui permettre de faire entendre sa voix.

#Gjenoppbygge237 #GjenoppbyggeVårtDemokrati

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

Parmi les nombreux chantiers que le MRC souhaite ouvrir dans la prochaine législature, il y a celui de la sécurité. Trop de saphyriens ne se sentent pas en sécurité dans notre pays aujourd’hui. Cette crainte se fait ressentir dans la population générale, mais aussi au sein de minorités craignant des actes et des violences à caractère discriminatoire, ou encore chez des enfants victimes de harcèlement scolaire.

Nous devons donc reconstruire notre sécurité collective, avec une approche globale qui prenne en compte les causes à la racine de l’insécurité ressentie par trop de saphyriens. Cela passe donc par un arsenal législatif adapté, un véritable plan de réinsertion pour lutter contre la récidive, et une lutte à la racine contre les causes sociales de la délinquance. Nous devons repenser notre manière de nous protéger tous, collectivement et individuellement, sans tomber dans le piège de la surenchère répressive qui n’a jamais mené à des résultats probants. C’est l’engagement du MRC, que nous aurons le plaisir de vous présenter dans cette campagne.

#Gjenoppbygge237 #GjenoppbyggeVårKollektiveSikkerhet

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

Le mot d’ordre de notre parti dans cette campagne est celui de la reconstruction. Mais nous ne voulons pas seulement défendre un retour à une situation moins détériorée, nous voulons profiter de cette reconstruction pour améliorer la vie des saphyriens.

Dans le cadre de notre projet de reconstruction de notre modèle social, nous voulons notamment en profiter pour améliorer les conditions de travail. Nous allons donc proposer d’abaisser la durée maximale de travail hebdomadaire prévue par le Cadre général du Travail, de 36 heures à 34 heures.

L’objectif est double : nous voulons d’une part partager le travail afin de lutter contre le chômage qui reste un problème majeur dans notre pays. Nous voulons d’autre part améliorer les conditions de travail et de vie des salariés saphyriens. La réduction du temps de travail hebdomadaire a en effet des effets positifs en matière de santé, de bien-être, et même de productivité horaire. Nous mènerons donc cette réforme avec votre appui !

#Gjenoppbygge237 #GjenoppbyggeVårSosialeModell

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

Dans le cadre de notre projet de reconstruction de notre modèle social, nous devons mettre en œuvre des politiques de long terme pour restaurer la situation de notre système de santé, dont les capacités ne permettent aujourd’hui pas de répondre aux besoins de la population. Nous avons vu opérer depuis les trois dernières décennies une dégradation affolante de notre système, avec une tension hospitalière qui explose, allant jusqu’au-delà de 120 % d’occupation dans certains territoires.

Dans le même temps, la qualité et l’accessibilité des soins se sont dégradées. Il y aura donc d’abord et avant tout un besoin d’investissements publics dans notre système de santé. Nous voyons bien la tentative des libéraux et des conservateurs, notamment dans le projet brutal de réforme des fonds souverains du Président Carlén que l’ADP promet de relancer, de profiter de la situation dégradée de notre système social pour le privatiser. Nous ne les laisserons pas faire de la santé un bien de marché. Nous défendrons fermement le service public de la santé.

Nous devons également avoir une meilleure approche sur la question de la prévention. Si nous devons développer l’offre de soins, il est également important de réduire la demande qui peut l’être, notamment en prévenant plus efficacement des pathologies.

Nous avons deux axes principaux de travail dans ce domaine. D’une part, nous devons travailler à étendre la couverture vaccinale. Cette dernière recule, et plus d’un saphyrien vulnérable sur sept n’est aujourd’hui pas vacciné contre les pathologies évitables les plus graves. Cela aide à la transmission de ces pathologies et, surtout, conduit à de très forts risques d’hospitalisation pour les patients concernés. Nous devons donc chercher à étendre cette couverture vaccinale avec une approche qui combine une meilleure sensibilisation aux vertus des vaccins, une meilleure lutte contre la désinformation qui les entoure, et une vraie garantie d’accès aux centres de vaccination.

D’autre part, nous constatons que l’accès à une contraception efficace en temps voulu n’est pas encore une réalité pour près de trois saphyriens sur dix. Cet accès expose donc les saphyriens à des risques de pathologies, comme à des grossesses non désirées, qui nécessitent ensuite une prise en charge médicale qui aurait pu être évitée. Nous devons donc travailler à élargir l’accès à la contraception, notamment en la rendant gratuite pour les plus jeunes.

Nous devons évidemment investir dans le système public de santé, et le MRC a bien l’intention de le faire dans cette campagne. Mais il ne serait pas intelligent de refuser de s’attaquer également aux causes de la demande de soins, quand cette dernière peut être réduite en améliorant globalement le niveau de santé des saphyriens à long terme.

#Gjenoppbygge237 #GjenoppbyggeVårSosialeModell

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

Parmi les nombreux dégâts dont le prochain gouvernement héritera de la part de la CMD, il y a d’abord une relation terriblement dégradée entre le gouvernement fédéral et les organisations syndicales. Malgré une mobilisation de 18 millions de grévistes, de millions de citoyens dans nos rues, le Président Carlén a refusé de reculer et a, jusqu’au bout, tenté d’imposer sa réforme brutale, austéritaire et non concertée des fonds souverains.

Nous voyons aujourd’hui des partis comme l’ADP revenir à la charge sur ce sujet. Il faut reconnaître leur volonté affichée davantage de compromis et de concertation avec les organisations syndicales. Mais comment peuvent-ils espérer rallier les syndicats à un projet qui, selon les grandes lignes du projet #RenoverSystemeSocial qu’ils portent, continue de porter la même idéologie de privatisation partielle d’un modèle social qui fait notre identité ? Que fera un gouvernement ADP quand les syndicats refuseront d’avaliser cette réforme ?

Nous avons tous vu ce que le chef de l’ADP a fait lors du débat sur le précédent projet de réforme, celui de Mattias Carlén. Il a appelé à tenir la ligne, à voter pour le texte, et critiquer les organisations syndicales, qu’il accusait de bloquer le pays. Avons-nous la moindre raison de croire que, si les syndicats refusaient de le suivre, il ne voudrait pas reproduire exactement le même schéma et tenter le passage en force ?

Quand nous parlons de reconstruire notre démocratie, nous ne voulons pas seulement parler. Nous ne voulons pas simplement prétendre vouloir discuter avec des syndicats, tout en étant prêt à passer en force s’ils n’acceptent pas de signer un projet ultra-libéral.

Nous avons vu une mobilisation sociale sans précédent contre le précédent projet de réforme des fonds souverains. Les saphyriens se sont engagés dans un effort collectif inédit. Nous devons capitaliser sur cette énergie pour renforcer notre démocratie sociale que la CMD et Mattias Carlén ont tant voulu abîmer. C’est ce que fera le MRC. L’ADP, elle, ne fait que se préparer pour le round 2 de l’affrontement.

#Gjenoppbygge237 #GjenoppbyggeVårtDemokrati

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

La reconstruction de notre modèle social, c’est d’abord garantir que l’État fédéral soit en capacité de récolter l’impôt et de lutter contre les fraudes qui nous privent de financements précieux pour nos services publics et notre modèle social.

Malgré le contexte de bonne santé des finances publiques, le Président Carlén s’est lancé dans une croisade contre la dépense publique, dont font évidemment les frais les plus précaires. Il s’est également attaqué aux crédits budgétaires du ministère du Trésor, nuisant à notre efficience fiscale. Nous avons vu dans la presse un think-tank composés d'anciens inspecteurs généraux du Trésor estimer que nous pourrions perdre 10 % de nos recettes en conséquence. Ceux qui ont les moyens d’établir des schémas de fraude complexe (les plus riches) peuvent donc dormir sur leurs deux oreilles grâce à la CMD.

En voulant faire des économies sur un poste de dépense relativement modeste dans la globalité du budget fédéral, la CMD nous prive de milliards de recettes qui empêcheront des investissements aussi stratégiques que nécessaires. Et ce sont les mêmes qui viendront nous expliquer ensuite qu’il faut poursuivre encore davantage la cure austéritaire, parce que l’État vit au dessus de ses moyens.

Difficile de dire si cette politique révèle une stratégie d’affaiblissement de nos finances publiques pour justifier toujours plus de coupes dans les services aux saphyriens, d’une manière déguisée d’offrir des réductions d’impôts aux seuls plus fortunés, ou juste une gestion stupide de notre budget fédéral, mais dans les deux cas, nous ne pouvons pas faire confiance à la CMD.

Nous voulons reconstruire notre modèle social, et cela ne sera pas possible sans assurer que chacun paye les impôts qu’il est censé payer. Nous restaurerons donc les crédits du ministère du Trésor et augmenterons ceux de la Police Impériale du Trésor. Le MRC veut faire fonctionner le gouvernement, pas travailler à le saboter pour venir ensuite expliquer à tout le monde que tout doit être privatisé.

#Gjenoppbygge237 #GjenoppbyggeVårSosialeModell

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

Je veux remercier chaleureusement les millions d’électeurs qui ont porté leurs suffrages sur le MRC, permettant à notre parti d’obtenir son meilleur score depuis près de quarante ans à des élections générales. Mes premières pensées vont à nos candidats, élus ou non, et à nos militants pour la magnifique campagne qu’ils ont mené. Je suis très fière du combat que nous avons mené ensemble, et je suis très reconnaissante envers les électeurs saphyriens pour leur confiance.

Ce soir, je peinerais à me réjouir de notre bon score si la coalition austéritaire CMD-ADP avait obtenu un nouveau mandat. Mais les saphyriens ont choisi de rejeter nettement cette politique, et une orientation gouvernementale brutale et austéritaire n’aura plus de soutien majoritaire au Sénat lors de cette législature.

Les négociations pour la formation d’un nouveau gouvernement s’ouvrent. Le MRC ne se ferme aucune porte et s’engage à discuter en toute bonne foi avec tout parti prêt à rompre avec l’orientation politique désastreuse de ces dernières années. Mais je m’y engage, dans la majorité comme dans l’opposition, le groupe de sénateurs MRC que vous avez élu restera toujours au service de ceux que nous avons défendu dans cette campagne, ceux justement à qui la politique de ces cinq dernières années a fait tant de mal.

#Gjenoppbygge237

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

À l’issue d’exigeantes négociations, le MRC a décidé de participer à un gouvernement pour la première fois depuis plusieurs décennies. Après une longue période dans l’opposition, nous faisons le choix de l’action en rejoignant le Président Douglas Pendra-Dahlman, auprès duquel nous avons obtenu des engagements forts sur la rupture avec la politique austéritaire du gouvernement sortant, rejetée dans les urnes par les saphyriens.

À titre personnel, je deviens donc Haute-Ministre d'État aux Affaires Sociales. Les missions qui m’attendent sont nombreuses, et j’ai hâte de mettre en œuvre tant des propositions que nous avons développées pendant notre campagne sur les sujets relevant de ce ministère. Les chantiers ne manquent pas, et nos solutions à appliquer non plus.

J’ai maintenant hâte de me mettre au travail avec nos partenaires de coalition, mais également avec les formations de l’opposition avec lesquelles je ne désespère pas de trouver ponctuellement des points d’entente dans l’intérêt général.

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

— ✏️ @AlmaWikstrom a répondu au Chirp de @StephanMeyer

Ivan Cappelen a quitté la Présidence du Conseil vingt ans avant ma naissance. Cela fait longtemps que ceux qui siégeaient avec lui ne sont plus des élus de notre parti. Bref, je ne suis pas Ivan Cappelen, et le MRC que je dirige n’est donc pas le MRC d’Ivan Cappelen.

Notre parti n’a aucune tentation autoritaire, et ceux qui ont suivi notre campagne savent que nous avons justement plaidé pour le renforcement de notre démocratie parlementaire, malmenée lors de la précédente législature. Nous ne sommes pas là pour détruire notre régime politique, nous sommes là pour obtenir dans meilleures conditions de vie pour les saphyriens. Nous ne voulons pas jouer un rôle de contestataires éternels qui cherchent à affaiblir des institutions, nous voulons apporter les changements que nos concitoyens attendent. C’est la raison pour laquelle nous faisons de nouveau partie d’un gouvernement.

Je ne veux pas m’attarder sur l’équivalence faite entre le MRC et le GRP, je suis certaine qu’Erik Dörsten reconnaîtrait bien volontiers que ces propos vieux de bientôt quinze ans étaient exagérés. Mais je regrette qu’une figure aussi éminente que le Chef de l’Opposition choisisse de maintenir une équivalence entre un parti qui se bat contre les inégalités sociales, et un parti qui fait de la haine son principal fond de commerce depuis des décennies. La remise en question de notre système économique qui laisse tant de nos compatriotes sur le bord de la route n’est en rien comparable avec le discours haineux de l’extrême-droite qui flirte bien souvent avec les limites légales.

Si les craintes formulées par le Chef de l’Opposition sont sincères, alors il s’apercevra bien vite que je ne suis pas Ivan Cappelen, que mon parti n’a rien d’extrémiste et que nous chercherons toujours à travailler avec l’opposition quand ce sera possible.

J'ai pris acte, avec responsabilité, de la nomination par Sa Majesté Impériale du gouvernement Pendra-Dahlman. Je souhaite lui adresser ici mes vœux de réussite dans l'exercice d'une mission qui engage non seulement l'avenir de cette législature, mais l'équilibre et la stabilité de l'Empire fédéral tout entier.
Je souhaite également adresser mes félicitations au Très Honorable Peter Ringdahl pour sa nomination comme Vice-Président du Conseil, et comme Président du Sénat par extension. Ce poste a été le mien pendant plus de 10 ans, et je connais l'importance et la mesure de cette responsabilité.

En tant que Chef de la Très Loyale Opposition, je respecterai la légitimité de ce gouvernement jusqu'à sa démission, sans jamais exiger sa fin ou la démission du Président du Conseil. Cependant, je ne me tairai sur rien comme l'exige ma responsabilité de chef de l'opposition.

Je dois l'admettre. J'éprouve une sincère inquiétude en regardant la coalition qui vient de se former. Si je ne remets pas en cause la probité personnelle des ministres, je ne peux que regretter que le Parti Impérial, garant supposé des institutions et de la stabilité de l'Empire, ait cédé à un accord de coalition avec le Mouvement Révolutionnaire Citoyen. Leur double nomination au sein de ce gouvernement, aux Affaires sociales et à l'Éducation, demeure pour moi un mépris à l'égard des erreurs du passé que fut l'héritage Cappelen.

Je regrette également le choix de l'USE de former une coalition avec le MRC. Cette décision semble être la preuve d'un désaveu de l'USE pour la stabilité de l'Empire. L'USE qui, par le biais de son ancien chef sénatorial, disait "avec une grande lucidité", il y a quelques années, que le MRC était, comme le GRP, l'une des principales menaces qui pèsent sur la sécurité de l'Empire. Pour Erik Dörsten, le bloc communiste avait participé au creusement d'un sillon de la déstabilisation intérieure qui servait de piston aux idées les plus extrêmes de notre société. Et pourtant, je le vois aujourd'hui au poste de Haut-Trésorier Impérial aux côtés de deux ministres issus de la MRC.

À toutes celles et ceux qui, comme moi, sont attachés à un Saphyr libre, démocratique et socialement responsable, je veux dire que la CMD ne laissera rien passer.
Je n’oublie pas les cinq dernières années. Je n’oublie pas les divisions internes à la CMD, les erreurs de gouvernance, les choix de certains de nos propres sénateurs. Mais je rappelle aussi que j’ai moi-même été écarté par Bold pour avoir tenté d’alerter sur les dérives, et que je n’ai jamais validé la méthode de Carlén, bien que je n’aie jamais non plus renié la nécessité de certaines réformes : la maîtrise de la dette, la lutte contre l’inflation, la responsabilité budgétaire. Car on ne gouverne pas un Empire avec des chèques en blanc que nos enfants devront rembourser.

Aujourd'hui, je salue l'appel de Niels Aarnes et je lui tends la main afin que nous puissions travailler ensemble au plus vite. La CMD prendra toute sa place avec l'ADP au sein d'un Contre-Gouvernement fédéral, pour garantir un contrôle exigent et constructif sur l'action gouvernementale.

Nous jugerons ce gouvernement aux actes, pas aux intentions. Nous défendrons :
- Une économie libre et équitable
- Un modèle social protecteur, qui ne sera pas idéologique et dépensier sans limite
- Un Empire fédéral fort de ses diversités, respectueux des États constitutifs, autant à l'intérieur qu'à l'extérieur
- Des institutions qui ne plieront pas face à la rue, ni face aux extrêmes (bien que ce point semble déjà compromis)

En somme, l'Opposition que je mènerai ne cherchera ni à détruire, ni à renverser pour renverser. Elle cherchera à réparer, à proposer et à veiller. Car c'est ce qu'exige la fonction et c'est cela que les Saphyriennes et les Saphyriens attendent de l'Opposition. Le Saphyr mérite mieux que les revanches et les postures. Il mérite une opposition lucide, libre et prête. Nous le serons.

[Alma Wikström]

Alma Wikström

@AlmaWikstrom

J’ai signé ce soir un ordre ministériel pour formaliser le lancement d’un plan d’investissements de 10 milliards d’Augustis dans nos infrastructures de santé. Grâce à ce plan dont le financement avait été prévu dans le cadre de la hausse du budget de mon ministère dans la dernière Loi du Trésor, nous allons donc apporter une réponse concrète au problème endémique de la tension hospitalière, à laquelle nos compatriotes sont confrontés dans tout le pays.

Grâce à nos investissements, deux nouveaux centres hospitaliers verront le jour dans des métropoles, ainsi que 16 petits hôpitaux de proximité et 80 maisons de santé pluridisciplinaires en zones rurales. Par ailleurs, notre plan finance l’extension de 17 centres hospitaliers métropolitains déjà existants. Nous avons toujours dit que la seule vraie solution face à la crise hospitalière était un retour de l’investissement public, et c’est exactement ce sur quoi notre gouvernement s’engage.