Magdalena Beirsston

[Magdalena Beirsston]

Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Il est intéressant de voir Esther Walgren parler de féminisme, mais mépriser ce qu’elle appelle des « symboles », en jetant par-dessus bord les réussites concrètes en politiques de nombreuses femmes issus de blocs idéologiques divers. Il est intéresser aussi de noter que son combat « féministe » ne concerne apparemment que la gauche, car le centre et la droite en seraient mathématiquement exclus : en effet, elle parle de partis faisant le choix majoritaire de porter des hommes dans leurs plus hautes fonctions internes », dénonçant surement la CMD et l’ADP. Prenons donc quelques chiffres.

La Coalition des Mouvements Démocrates possède actuellement trois ministre-présidentes et une maire de cité libre, qui sont… des femmes. La représentation la plus importante obtenue par ce parti est donc intégralement assuré par la gent féminine. Au niveau de l’ADP, la présidence du Conseil fut longtemps assurée par Kirsten Sullivan-Petersen, et aucun de nous n’y a vu une révolution : seulement l’application de nos valeurs : à compétences égales, peu importe que vous soyez un homme ou une femme. A l’ADP, les investitures pour les têtes de liste ont été strictement paritaires : 5 femmes et 5 hommes, tout comme à la CMD. Ce n’est pas le cas de l’USE, ou seule Esther Walgren est tête de liste féminine : des chiffres guère meilleurs au PI, ou seulement 2 des têtes de liste sont des femmes…

Je ne passerais guère de temps sur la composition du gouvernement, dans lequel l’ensemble des postes suprêmes ou régaliens sont occupés par des hommes, et qui ne compte qu’une seule ministre, Emilie Pedersen, aux affaires sociales, domaine traditionnellement associé dans les mentalités aux femmes… Alors vos pouvez parlez d’idéologie Madame Walgren, mais les chiffres sont là, et jouent contre vous. Balayez devant votre porte, laissez les femmes de vos partis accéder à la représentation politique, et revenez ensuite faire votre morale féministe : les électeurs, eux, ont bien vu les faits. #ADP210

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Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Je ne comprends pas l’obsession de l’extrême gauche, encore démontrée hier à Katalina par le candidat du MRC, à vouloir limiter drastiquement le temps de travail par semaine. En effet, une réduction du nombre d’horaires travaillés signifie une réduction mécanique du pouvoir d’achat des salariés, ou un affaiblissement chronique de la santé financière des entreprises si elles doivent facturer au même prix un volume horaire inférieur.

Si pour certains métiers pénibles, une réduction du temps de travail et une revalorisation horaire paraît justifiée, ce genre de mesures n’a aucun sens économique ou social pour les fonctionnaires, les employés de bureau, les syndicalistes, les cadres ou les cols blancs qui peuvent se permettre de travailler 35 heures, voire davantage. Pour créer de la valeur, nous devrions encourager l’emploi et la rémunération du travail, pas le transformer en fléau ou en corvée.

Face aux fausses solutions pour le bien être des travailleurs portée par une extrême gauche dépassée et mais qui a la mérite d’ouvrir ce débat, le vrai camp populaire, c’est celui qui défend le travail, la prospérité et le pouvoir d’achat de nos travailleurs et de nos entreprises.#ADP210

[Magdalena Beirsston]

Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Garantir la continuité, l'efficacité et l'accessibilité de nos services publics constitue l'une des priorités de notre mouvement, notamment dans une échéance électorale qui doit se baser sur des candidats reconnus pour leur ancrage local. Ces services de proximité permettent de résoudre les problématiques quotidiennes de nos concitoyens, et c'est une fierté de défendre leur renforcement dans notre projet d'intérêt général.

Parce que le droit de grève implique aussi de respecter les libertés individuelles comme le droit de travailler pour chaque salarié non gréviste ou encore le droit de propriété - puisque dans le secteur public, le bien appartient aux contribuables -, nous mettrons en place un service minimum garanti dans les services publics en cas de grève, notamment dans les transports en commun, le service postal et à l'école.

Permettre aux orcadiens et aux orcadiennes de bénéficier de services publics accessibles et efficients : voilà un engagement majeur que je prends en tant qu’aspirante à la fonction de Ministre-Présidente. Par un cadre légal rigoureux, une avancée main dans la main avec les fonctionnaires et un plan global de collaboration avec la société civile et les communes, nous construirons une action publique populaire, puissante et prospère !#ADP210

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Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Six mois de congés paternité et maternité: voilà la nouvelle lubie nataliste du MRC. Cette mesure prétend porter une ambition sociale et féministe: mais elle place pourtant les entreprises dans une situation extrêmement délicate, car elles ne pourront se permettre de payer un salarié improductif pendant une aussi longue durée. Elle éloigne également les parents de la vie professionnelle pendant une demi année, les rendant moins attractifs et compétents, dans une époque de fortes mutations technologiques qui font évoluer sans cesse l’environnement professionnel.

Alors peut être que le MRC pense que ce congé maternité et paternité peut être financé par les principautés. Mais nos marges financières ne sont pas infinies, et doivent surtout répondre à des réformes pertinentes et utiles, ce qu’un aussi long congé n’est pas. Avoir un enfant est un événement immense, et il faut en effet accompagner les nouveaux parents et leur permettre d’élever dignement leur progéniture. Mais les couper si longtemps du monde du travail et de la vie professionnelle et sociale ne sera ni bénéfique à leurs enfants, ni à eux mêmes, ni à la société.

Contre ces mesures excessives, pensons des congés adaptés, et des mesures ciblées pour relancer la natalité et soulager les jeunes parents. Notre jeunesse et nos concitoyens le valent bien. #ADP210

[Magdalena Beirsston]

Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Très heureuse d'avoir mener notre campagne collectivement, avec fierté et dans l'objectif de bâtir une droite populaire, ambitieuse et rénovée en Orcadie ! Cette première campagne fut riche en enseignement pour moi, et je suis ravie de tous les kilomètres parcourus, de toutes les rencontres effectuées et de tout le chemin accompli.

Mes projets pour notre principauté sont clairs: tout d’abord la loi sur la sécurité, qui doit fonder une nouvelle approche de notre doctrine en matière de police et de répression du crime: prendre en charge les troubles sociaux, mais lutter d’une main ferme contre le crime organisé et la dégradation de l’autorité de l’Etat. Ensuite renforcer notre politique d’emploi et l’attractivité économique de notre région, afin de renforcer le pouvoir d’achat de nos concitoyens et les investissements de nos entreprises. Enfin travailler ensemble avec tous les partenaires sociaux et toutes les forces politiques qui le souhaiteront pour bâtir une Orcadie meilleure: tel est le projet de notre droite populaire et ambitieuse, et tel est le projet que je défend.

Alors, partout dans le pays, pour faire de nos projets et de nos espoirs des réalités, votons pour #ADP210

[Magdalena Beirsston]

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@MBeirsston

En conclusion de cette campagne formatrice, qui m'a réellement appris le sens du terrain et de l'engagement politique, j'ai publié une tribune dans l'Orcadiebladet, afin de synthétiser ma vision pour l'Orcadie, et la Ministre-Présidente que j'espère incarner si vous m'estimez dignes de votre confiance.

Je veux être une Ministre-Présidente de l’action, pas seulement de la réaction; je veux être une Ministre-Présidente de l’anticipation, pas de la gestion; je veux être une Ministre-Présidente de l’ambition, pas une Ministre-Présidente de la déception: la encore, une antithèse à notre gouvernement fédéral. Cette ambition passera par la concrétisation de nos promesses: renforcement de la formation et de l’emploi, notamment à destination des catégories les plus fragiles comme les jeunes ou les seniors, mais aussi de nos capacités sécuritaires et policières, afin de garantir la stabilité économie comme sociale de l’Orcadie. Car c’est quand l’ordre public est ferme et juste que la cohésion sociale se maintien, et que les individualités s’épanouissent.

Notre projet patriote, populaire et pragmatique est clair, et avec votre confiance, je l’incarnerais avec toute ma force, toute ma volonté et toute mes compétences. Car je crois qu’aspirer à une haute fonction politique nécessite un engagement corps et âmes, je donnerais le meilleur de moi-même, pour obtenir le meilleur pour l’Orcadie et pour mes concitoyens. #ADP210

[Magdalena Beirsston]

Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Comme je l'avais promis durant ma campagne, j'ai demandé il y a quelques jours à notre Prince Souverain de promulguer la loi princière instaurant une progressivité des charges sociales à l'embauche. Cette mesure phare de notre programme visera à stimuler l'emploi dans notre principauté, en valorisant les entreprises qui embauchent localement et qui réinvestissent leurs bénéfices dans la prospérité économique et dans la paix sociale de notre territoire.

Comme le mentionne notre texte, les organisations syndicales et patronales devront réaliser un cycle de négociation annuel pour fixer les barèmes précis, qui devront être communiqués pour l'année suivante à l'administration fiscale. En cas d'absence d'accord entre les partenaires sociaux, un taux médian sera appliqué par défaut, sauf disposition contraire du Trésorier Princier. Nous conservons ainsi une flexibilité dans ce texte propice à la facilitation du dialogue social, afin que notre gouvernement ne demeure qu'un régulateur des rapports sociaux propice à favoriser la cohésion sociale.

L'instauration du crédit d'impôt devrait coûter à la principauté d'Orcadie 800 millions Md₳ de pertes fiscales, pour une estimation afférente d'une réduction de 1 milliard de Md₳ des dépenses liées à l'assurance chômage. Nous avons donc présenté un texte équilibré financièrement, juste et favorable à l'emploi, pour la prospérité de notre principauté et l'intérêt général de ses adhérents.

[Magdalena Beirsston]

Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Le GRP n’esquisse pas la moindre ombre de proposition quand il critique sans fondement et en quelques lignes une loi pensée, réfléchie et mise en œuvre après un long processus politique et social de maturation démocratique. Il condamne un projet explicitement choisi par une majorité d’Orcadien, et soutenu par les deux forces politiques majeures de notre principauté.

La encore, le GRP démontre qu’il ne présente aucune compétence digne de mener la politique de notre principauté comme celle de nos voisins. Ce parti nationaliste continue de surfer sur des colères légitimes, mais en les simplifiant et en les catalysant sur des slogans éculés et des promesses démagogues et imprécises. Le GRP n’a pas de projet pour l’Orcadie: tel le glacial vent du Nord, il charrie les effluves de mensonges tempétueux, mais n’apporte aucun bonheur aux terres qu’il traverse.

Contre le manque d’ambition cruel de la gauche fédérale et locale, contre les sirènes populistes du GRP, notre droite est forte, moderne et populaire. C’est dans ce cadre que notre projet de défense de l’emploi et de protection des entreprises trouve sa place, dans une loi précise, budgétisée et soumise à des contrôles d’efficacité. Nous voulons mettre en œuvre des instruments qui fonctionnent, des projets qui obtiennent des résultats, et des politiques qui améliorent réellement le quotidien de nos concitoyens: telle est la vision que défend l’ADP, et que je continuerait à mettre en œuvre durant tout mon mandat.

[Magdalena Beirsston]

Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Je ne parviens pas à comprend comment le Parti issu des désastres économiques et politiques de l'ère Cappellen peut venir se prévaloir aujourd'hui de donner des leçons d'économie à une alliance de gouvernement et de prospérité.

Dans un premier temps, j'aimerais revenir sur l'affirmation faite par Mme Petra Kolberg, qui cite le chiffre de 0,14% comme dernier résultat économique de notre Parti aux affaires, un chiffre vieux de 10 ans, et qui se basait sur une économie bien plus saine qu'aujourd'hui. A l'époque, le taux de chômage était inférieur à 7%, ce qui constitue un chiffre proche du taux naturel dans les pays développés à l'économie tertiarisée, et qui nécessite des réformes structurelles pour être réduit. En fait, depuis sept ans, c'est bien l'incurie du centre-gauche et de la gauche qui a augmenté le chômage de 4% depuis les élection de 206: un désastre du à l'inactivité gouvernementale et aux tentations confiscatoires de la gauche. Il y a sept ans, notre économie avait besoin de progresser à son rythme dans le bon sens: aujourd'hui, il lui faut un véritable choc de prospérité et de compétitivité.

Petra Kollberg veut donc réduire le chômage en réduisant le temps de travail: cette proposition parait mathématiquement simple, mais économiquement irréaliste. La réduction du temps de travail va certes mécaniquement faire baisser à la marge le taux de chômage, mais considérablement augmenter le coût du travail sur les entreprises, les conduisant à réduire leur embauche... Augmenter artificiellement l'emploi public se fera aux dépends des recettes fiscales, et donc des entreprises, qui devront à leur tour réduire leurs marges, donc leurs embauches, et pénaliseront la prospérité nationale. Voila la réalité du #PleinEmploiSocial: une façon d'aggraver notre déficit commercial et de condamner au trépas notre prospérité nationale.

[Magdalena Beirsston]

Magdalena Beirsston

@MBeirsston

Il est admirable d'observer les confusions dommageables et majeures que fait Petra Kollberg en mélangeant de manière désordonnée la lutte contre le chômage, qui relève d'une politique conjoncturelle, la présence d'inégalités, qui relève de mécanismes structurels notamment liés à la structure des revenus et des patrimoines, ou encore la question des investissements de l'état ou de la recherche... Un fourre-tout économique, un catalogue de mesure collectivistes au sein d'un prétendu plan de #PleinEmploiSocial qui rappelle que la gauche extrême et l'extrême gauche croient encore aux bienfaits d'une économie planifiée et d'un Etat capable d'agir sur tous les fronts en même temps.

Alors soyons réalistes, Madame Kollberg: comment allez-vous financer l'abaissement de l'âge de la retraite à 62 ans pour l'ensemble des citoyens ? En accroissant les recettes fiscales. Et qui paiera ? Les entreprises, et le contribuable. Comment allez-vous financer la baisse du temps de travail ? En demandant aux entreprises d'accroitre leurs coûts du travail, donc en rognant sur leurs marges et leur compétivité. Comment allez vous financer un accroissement majeur de l'emploi public et des investissements à tout va, sans coordination avec les principautés, sans prise en compte de la diversité territoriale ? En accroissant encore et toujours le fardeau de la dette publique et de la pression fiscale sur les piliers de notre économique. Cette ruine de notre compétivité ne sera pas remise en cause par un renforcement des "capacités de recherche et de formation": vous n'allez pas faire développer aux entreprises de nouveaux produits quand elles n'auront même plus de quoi produire et embaucher sur les segments d'activité actuels...

Notre #Chocdeprospérité promet lui des réponses conjoncturelles à la hausse actuelle du chômage, et des réformes plus larges, menées de concertation avec les territoires, en définissant des planchers et des plafonds de réduction fiscale, en stimulant de façon adaptée la relance économique par l'investissement public, et en défendant la compétivité de nos exportations et la réindustrialisation de notre pays. Ces priorités sont tournées vers l'avenir, et non nostalgique d'un passé planifié: car c'est à l'avenir qu'appartient la prospérité.