Sarah Kalpije-Ranhört
@SarahCMD
Vingt ans. Vingt ans, je me suis consacrée à vous servir avec ardeur, avec bienveillance, avec humilité, a vous servir. Ces vingt années n’ont pas été parfaite, et je le reconnais humblement. Mais durant ces deux décennies, j’ai tant appris sur notre pays, sur notre Empire, sur nos concitoyens, sur moi même et sur mes valeurs, que je ne peux qu’être reconnaissante. Reconnaissante pour tous ceux que j’ai croisé durant ces années de pouvoir et d’opposition. Reconnaissante pour toutes ces batailles menées, pour tous ces projets accomplis, pour toutes ces rencontres effectuées. Reconnaissante enfin envers tous ceux que j’ai pu croiser sur ma route, et qui ont contribué d’un petit rayon à faire briller le soleil d’un long bonheur.
Préservation de notre modèle social, redémarrage de notre économie, sortie de la crise financière, défense de notre troisième voie démocratique dans la sphère internationale: je crois que nous n’avons à rougir ni de notre bilan, ni de notre action. Sur le plan national comme local, ces avancées ne sont pas les miennes: elles sont les enfants de la mobilisation collective de nos gouvernements successifs, de la confiance des électeurs, de l’action partout dans le pays d’hommes et de femmes de devoir que je veux saluer. Merci à tous et à toutes d’avoir œuvre pages par pages à la grande histoire de notre Empire.
Si j’aimerais que l’on se souvienne d’une chose, d’un sens, d’un message de ces longues années de service, c’est celui ci: chacun doit pouvoir croire en ses rêves, et pouvoir en faire, par la force de son travail et de sa volonté, une réalité. Il n’y a ni réussi facile, ni échec définitif: il ne doit y avoir ni laissés sur le côté, ni volonté supérieure qui impose à chacun sa fonction contre la plus élémentaire des libertés. Croyez en vos rêves, et agissez dans le respect de vos valeurs: ce sont ces fondements qui constituent la richesse de notre pays, et l’espoir que j’ai porté pour ce pays. Et sur les cendres de ce discours oublié sitôt prononcé, faites jaillir mille feux de nouvelles idées, de nouveaux débats, de nouvelles libertés: moi, peu importe la ou je serais, je n’aurais plus grande joie que de vous contempler.
#Takk
Préservation de notre modèle social, redémarrage de notre économie, sortie de la crise financière, défense de notre troisième voie démocratique dans la sphère internationale: je crois que nous n’avons à rougir ni de notre bilan, ni de notre action. Sur le plan national comme local, ces avancées ne sont pas les miennes: elles sont les enfants de la mobilisation collective de nos gouvernements successifs, de la confiance des électeurs, de l’action partout dans le pays d’hommes et de femmes de devoir que je veux saluer. Merci à tous et à toutes d’avoir œuvre pages par pages à la grande histoire de notre Empire.
Si j’aimerais que l’on se souvienne d’une chose, d’un sens, d’un message de ces longues années de service, c’est celui ci: chacun doit pouvoir croire en ses rêves, et pouvoir en faire, par la force de son travail et de sa volonté, une réalité. Il n’y a ni réussi facile, ni échec définitif: il ne doit y avoir ni laissés sur le côté, ni volonté supérieure qui impose à chacun sa fonction contre la plus élémentaire des libertés. Croyez en vos rêves, et agissez dans le respect de vos valeurs: ce sont ces fondements qui constituent la richesse de notre pays, et l’espoir que j’ai porté pour ce pays. Et sur les cendres de ce discours oublié sitôt prononcé, faites jaillir mille feux de nouvelles idées, de nouveaux débats, de nouvelles libertés: moi, peu importe la ou je serais, je n’aurais plus grande joie que de vous contempler.
#Takk