Linda Vaernes

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@LindaVaernes

J’ai dévoilé mon affiche de campagne ce matin. Elle retranscrit cette volonté qui est la mienne d’aller toujours vers l’avant et de faire entrer notre Principauté dans le prochain siècle ! Nous allons mener la politique de la modernité sur tous les plans et faire de cette Principauté et de tout ce pays des exemples en la matière.

#JeVoteCMD

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Je viens de soumettre à son Altesse Thorvald Wendsson un texte voté par la Chambre des Communes encadrant clairement la gestion budgétaire de la Principauté.

Si notre budget est équilibré et que je m’assurerai qu’il le reste tout au long de mon mandat, je veux me battre pour que mes successeurs soient également contraints de respecter une règle simple : pas de déficit budgétaire. Évidemment, le texte voté prévoit des dérogations possibles en cas de circonstances exceptionnelles qui nécessiteraient des dépenses imprévues. Mais en temps normal, on ne peut accepter de voir notre Principauté s’endetter et ainsi charger es générations futures d’un terrible fardeau.

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L’effondrement d’un pont ferroviaire hier pose de nombreux défis, que ce soit sur des questions de mobilité, d’infrastructures ou d’économie du tourisme. J’ai naturellement réorganisé mon agenda pour consacrer une bonne partie de ma journée à des réunions sur ces enjeux majeurs.

Retrouvez le communiqué de mon Ministère à ce sujet.

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J’étais aujourd’hui à Wulfsburg pour visiter un lycée, une très belle opportunité pour moi échanger tant avec des jeunes qu’avec des professeurs sur leurs attentes, leurs espoirs et également leurs angoisses. Si les questions d’éducation ont évidemment été largement abordées, de nombreux élèves m’ont fait part de questionnements sur leur entrée à venir sur le marché du travail.

Certains tenteront de trouver un emploi pérenne dès l’année prochaine, d’autres envisagent de longues études supérieures avant cela. Mais beaucoup partagent une crainte : celle de peiner à trouver un emploi vu les difficultés des jeunes, même qualifiés, à entrer sur le marché du travail, et ce même dans une économie saine comme celle que nous construisons jour après jour, notamment en posant des limites fortes à l’intervention et à l’endettement de la Principauté.

Même avec de la bonne volonté, même avec une économie très saine, il y a toujours plus de difficultés à trouver un premier emploi. Évidemment, il existe à cela de nombreuses raisons : les employeurs craignent toujours de recruter un salarié sans expérience professionnelle, ils peuvent aussi avoir quelques préjugés sur notre jeune génération, souvent décrite comme peu encline à faire des efforts. Notre objectif est d’apporter des solutions et des incitations pour que les entreprises trouvent un intérêt à recruter des plus jeunes, quand bien même il y aurait certains désagréments.

Tout d’abord, je suis absolument convaincue que si nous voulons la meilleure main d’oeuvre de Phoécie, nous devons investir massivement dans la formation professionnelle. Faire des études permet d’acquérir des compétences universelles indispensables mais pas nécessairement d’apprendre à exercer une profession. Il n’y a aucune honte à ne pas être naturellement doué pour un emploi et à avoir besoin d’une formation. Nous voulons que les entreprises puissent offrir à leurs jeunes recrues des formations professionnelles qualifiantes à moindres frais. Cela passera par donc par la création d’un crédit d’impôt qui permettra de déduire 50% des frais de ces formations de la taxe professionnelle.

Ensuite, plus généralement, nous devons inciter les entreprises à donner leurs chances à des jeunes novices sur le marché du travail. Cela passera par la création d’un second crédit d’impôt permettant de déduire 200 Augustis par mois de taxe professionnelle pour la première année d’embauche d’un jeune sans expérience professionnelle préalable.

Les jeunes sont la relève de notre économie. Soyons au niveau en leur offrant une chance d’entrer dans le monde du travail avec le moins de difficultés et de tracas possible. Continuons de miser sur notre jeunesse pour bâtir notre avenir, qui est avant tout le sien. C’est tout le sens du projet économique de la Coalition des Mouvements Démocrates, tant dans la Principauté de Skadie qu’ailleurs !

#JeVoteCMD

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J’ai tenu aujourd’hui un grand discours à Hindt sur le rôle de l’école dans la réduction des inégalités sociales. Je suis convaincue depuis toujours qu’il existe des inégalités sociales qui se perpétuent à la naissance. Il est évidemment mensonger de dire que tous les enfants partent dans la vie avec les mêmes chances et que, à force de travail, tout le monde a une opportunité de réussir dans la vie. Dans les ménages modestes, les enfants partent déjà avec moins de possibilité d’avoir des études financées par leurs parents. Il ne faut pas non plus négliger que les parents les plus modestes sont souvent ceux n’ayant pas eu la possibilité de faire de longues études et éprouvant des difficultés à assister leurs enfants dans leurs apprentissages.

Ces inégalités sociales existent et existeront à jamais. La question que devrait se poser tout responsable politique est celle de leur réduction. Bien sûr, le travail doit être valorisé pour maximiser les chances de réussite de n’importe quel enfant qui souhaite s’engager pleinement pour obtenir une vie meilleure. Mais nous ne devons pas négliger le rôle central que l’école joue, ou qu’elle devrait jouer, dans la réduction de ces inégalités. Aujourd’hui, nous ne pouvons pas fermer les yeux sur la réalité : globalement, les enfants des ménages les plus modestes et ceux des ménages les plus aisés n’étudient que peu ensemble. Les uns vont pouvoir avancer sereinement et réussir leurs examens terminaux avec brio, les autres avanceront dans des groupes avec moins d’enfants moteurs et auront statistiquement moins de chances de réussite.

Nous devons faire ce constat et apporter des solutions spécialisées aux établissements du secondaire où les résultats des examens terminaux sont particulièrement faibles. L’objectif est réellement de donner à l’école les mêmes chances à tous les enfants de réussir leur scolarité grâce à des dispositifs ciblés. Réélue à la tête de la Principauté, je travaillerai sur des dispositifs spécifiques. Il conviendra d’abord de créer un statut spécifique pour ces établissements en difficulté.

Ce statut donnera des droits et des obligations à ces établissements, évidemment financés en conséquence par le gouvernement de la Principauté. Tout d’abord, les effectifs de chaque classe dans ces établissements seront limités à 20 élèves par classe. Ensuite, nous créerons des dispositifs complémentaires comme des programme de soutiens en dehors des heures des cours, un dispositif d’assistance aux devoirs pour les élèves le souhaitant ou encore un système permettant au gouvernement de prendre en charge tout ou partie de l’inscription d’un enfant à une activité sportive extrascolaire, le sport étant également un enjeu majeur de santé publique, particulièrement chez les enfants.

Je suis déterminée à faire de l’école un vrai lieu de réduction (efficace) des inégalités dans notre Principauté. Et cela passe par accorder une attention accrue à ces établissements où les difficultés perdurent.

#JeVoteCMD

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@LindaVaernes

Il y a 4 ans, 26% des skadiens me faisaient confiance pour devenir leur Ministre-Présidente. Aujourd’hui; vous avez été 37% à me renouveler votre soutien pour que je reste à la tête de cette Principauté pour y poursuivre le travail de réforme que j’y ai engagé.

Je remercie infiniment les électeurs pour leur confiance, mes colistiers pour avoir accepté de participer à cette démarche politique et toutes celles et ceux qui se sont mobilisés pour cette campagne. Je veux féliciter les autres listes et candidats, en leur réaffirmant ma volonté de travailler avec eux autant que possible sur les sujets qui concernent l’avenir de notre territoire !

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Les évènements survenus récemment dans la banlieue de Freyrssen sont évidemment un sujet de préoccupation majeur de mon gouvernement alors que les problèmes de toxicomanie font peser une menace sur la santé et la sécurité des habitants de Skadie. Nous sommes prêts à prendre très rapidement des mesures pour renforcer la sécurité, et notamment par le biais d’une approche globale dans notre lutte contre la consommation de drogues.

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Ces dernières années, le chômage dans notre Principauté a stagné. Je veux que nous atteignons le plein emploi à moyen terme et c’est pour cela que je me réjouis que la loi relative à l'insertion des jeunes sur le marché du travail ait été adoptée par la Chambre des Communes.

Cette loi correspond à promesse de campagne, déjà mise en place avec succès dans plusieurs autres territoires dirigés par des élus de la CMD. Les effets y sont très prometteurs et me font croire que nous allons, ici aussi, pouvoir baisser significativement le chômage des jeunes en incitant à leur entrée sur le marché du travail et en aidant leur formation professionnelle par les entreprises.

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Depuis plus de 7 ans, j’ai l’honneur de diriger le gouvernement de la Principauté de Skadie. Pendant ces longues années, nous avons accompli de très grandes choses, que ce soit pour encadrer les dépenses du gouvernement ou pour favoriser l’insertion des plus jeunes sur le marché du travail. Aujourd’hui, je suis candidate pour poursuivre ce travail encore plusieurs années. Aujourd’hui, je suis candidate à un nouveau mandat pour un gouvernement encore plus efficace et une économie encore plus prospère.

Comme à chaque campagne, j’ai hâte de vous retrouver partout sur le terrain pour tenter de vous convaincre de donner une nouvelle fois sa chance à notre parti.

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@LindaVaernes

J’ai participé avec très grand plaisir cet après-midi à un débat organisé par Radio Élégance, antenne locale skadienne, sur la question de la fin de vie. Plus que jamais, je crois en la liberté individuelle. Plus que jamais, je crois que le gouvernement ne doit pas intervenir dans les choix de chacun des individus.

Alors oui, je propose d’ouvrir la possibilité d’une aide active à mourrir pour les patients qui en font le choix, tout en assurant que les services de soins palliatifs disposent de suffisamment de moyens humains et matériels pour accueillir tous les patients ne souhaitant pas faire ce choix.