Johan R. Kittleson
@RoyssonK70
Lors d'une visite à l'Université Libre de Leipzigton, j'ai pu échanger avec des militants des Jeunesses Écosocialistes et j'ai même pu revoir mon ancien camarade de lycée, Ernst, avec qui j'ai démarré aux Jeunesses Écosocialistes. Celui-ci, en études de médecine, avait organisé pour l'occasion un café-débat sur la question du système de santé et de sécurité sociale au Saphyr et à Leipzigton.
Nous avons discuté de l'état actuel du système de santé et notamment de la protection sociale par couverture assurantielle, moitié fédéral et moitié polidoréen. Aujourd'hui, beaucoup de jeunes étudiants en médecine ne voient pas leur avenir dans leur filière autrement qu'en médecine libérale. Rien de surprenant, quand on voit l'état du système hospitalier public : une faible qualité de travail, des soignants surchargés en permanence, tout ça à cause d'un financement irrégulier qui passe toujours en première ligne lorsque des gouvernements libéraux-conservateurs prennent les commandes, que ce soit au niveau local ou au niveau fédéral.
Le système de sécurité sociale assurantielle montre clairement ses limites : les gouvernements qui s'enchaînent augmentent et réduisent les actes qui peuvent être remboursés et dans quelles proportions ceux-ci peuvent l'être. Nous n'en sommes pas à l'anarcho-libéralisme qui régit la santé en Fédération-Unie, mais force est de constater que la médecine publique est devenu un repoussoir pour les futurs docteurs, et du côté des patients, la peur de ne pas être suffisamment couvert pour un acte médical reste toujours bien présente.
Or ce que j'ai appris en classe d'histoire sociale, c'est que notre service de santé n'a jamais été aussi accessible et aussi fonctionnel que lorsqu'il était entièrement géré par le gouvernement.
C'est pourquoi, si vous soutenez l'Union Socialiste Écologiste à Leipzigton, notre liste défendra la nationalisation par la Cité de tous les organismes médicaux privés et la création d'un corps de médecins dans la fonction publique de la Cité Libre. Nos médecins seront des employés du service public et pourront être assignés à des missions prioritaires là où leur savoir est utile. Ils pourront bien entendu toujours la possibilité d'exercer en cabinet dans des petites structures, mais il n'y aura plus de hiérarchie entre la médecine privée onéreuse réservée aux patients aux plus hauts revenus et une médecine publique sacrifiée par le gouvernement pour les leipzigtoniens moyens et défavorisés.
La santé cessera d'être un service marchand pour lequel l'État se porte garant à un degré plus ou moins étendu et pour lequel il faut pouvoir payer à l'acte, et redeviendra ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être : un service public et universel, accessible à tous et gratuit. Aucun médecin ne devrait avoir à demander à son patient de présenter un document attestant de son droit fondamental à être soigné, et aucun patient ne devrait avoir à sortir son portefeuille pour bénéficier de soins médicaux essentiels et basiques.
Rebâtissons un système de santé fiable, durable et de qualité dans notre Cité !
#USE195 #Leipzigton195
Nous avons discuté de l'état actuel du système de santé et notamment de la protection sociale par couverture assurantielle, moitié fédéral et moitié polidoréen. Aujourd'hui, beaucoup de jeunes étudiants en médecine ne voient pas leur avenir dans leur filière autrement qu'en médecine libérale. Rien de surprenant, quand on voit l'état du système hospitalier public : une faible qualité de travail, des soignants surchargés en permanence, tout ça à cause d'un financement irrégulier qui passe toujours en première ligne lorsque des gouvernements libéraux-conservateurs prennent les commandes, que ce soit au niveau local ou au niveau fédéral.
Le système de sécurité sociale assurantielle montre clairement ses limites : les gouvernements qui s'enchaînent augmentent et réduisent les actes qui peuvent être remboursés et dans quelles proportions ceux-ci peuvent l'être. Nous n'en sommes pas à l'anarcho-libéralisme qui régit la santé en Fédération-Unie, mais force est de constater que la médecine publique est devenu un repoussoir pour les futurs docteurs, et du côté des patients, la peur de ne pas être suffisamment couvert pour un acte médical reste toujours bien présente.
Or ce que j'ai appris en classe d'histoire sociale, c'est que notre service de santé n'a jamais été aussi accessible et aussi fonctionnel que lorsqu'il était entièrement géré par le gouvernement.
C'est pourquoi, si vous soutenez l'Union Socialiste Écologiste à Leipzigton, notre liste défendra la nationalisation par la Cité de tous les organismes médicaux privés et la création d'un corps de médecins dans la fonction publique de la Cité Libre. Nos médecins seront des employés du service public et pourront être assignés à des missions prioritaires là où leur savoir est utile. Ils pourront bien entendu toujours la possibilité d'exercer en cabinet dans des petites structures, mais il n'y aura plus de hiérarchie entre la médecine privée onéreuse réservée aux patients aux plus hauts revenus et une médecine publique sacrifiée par le gouvernement pour les leipzigtoniens moyens et défavorisés.
La santé cessera d'être un service marchand pour lequel l'État se porte garant à un degré plus ou moins étendu et pour lequel il faut pouvoir payer à l'acte, et redeviendra ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être : un service public et universel, accessible à tous et gratuit. Aucun médecin ne devrait avoir à demander à son patient de présenter un document attestant de son droit fondamental à être soigné, et aucun patient ne devrait avoir à sortir son portefeuille pour bénéficier de soins médicaux essentiels et basiques.
Rebâtissons un système de santé fiable, durable et de qualité dans notre Cité !
#USE195 #Leipzigton195