Ingeborg Wollen

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Je vous souhaite à tous la bienvenue sur mon compte Chirper !

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Le premier danger qui pèse sur notre système politique et constitutionnel, ce n’est à mon sens pas l’autoritarisme venu d’autres pays, mais bien une défiance de la population envers les institutions. C’était en tout cas ce que j’ai essayé de défendre devant des étudiants d’Eiligsland que j’ai rencontré ce matin.

Notre devoir d’élus est de protéger les citoyens, mais aussi (et surtout) de garantir la sécurité de notre système constitutionnel. Si nous nous montrons indignes des responsabilités confiées par les électeurs, nous permettrions alors de voir le doute sur la fiabilité des institutions s’installer. Nous permettrions alors une remise en cause de l’autorité de l’État. Ceci doit être évité par le biais de mesures qui doivent être prises à tous les niveaux, et donc notamment aux niveau des localités.

En Orcadie comme dans toutes les autres localités de l’Empire, les candidats de la Coalition des Mouvements Démocrates proposent l’établissement d’une loi de moralisation de la vie politique locale dans chacune des localités afin de combattre les comportements douteux des élus qui pourraient venir à remettre en cause la confiance des citoyens dans leurs institutions.

Cette loi contiendrait plusieurs mesures importantes pour permettre réellement de lutter contre la méfiance à l’égard de la classe politique. En plus d’un renforcement des dispositifs anti-corruption et anti-criminalité financière, nous voulons exiger des élus la transparence sur les déclarations d’intérêts et de patrimoine. Si un élu possède des quantités importantes d’actions dans un certain secteur de l’économie, il est naturel que les citoyens le sachent pour pouvoir juger si les actions politiques prises sont de bonne foi ou non. Les citoyens ont besoin de connaître les éventuelles situations intéressées de nature à influencer les décisions publiques !

Alors pour la solidité de nos institutions, pour que l’autorité de l’État soit garantie et respectée, nous avons besoin d’élus exemplaires. Et, au lieu d’attendre que chacun se conforme aux règles éthiques élémentaires de son plein gré, la Coalition des Mouvements Démocrates propose une législation adaptée et efficace.

#JeVoteCMD #MoralisationDeLaViePolitique

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J’étais cet après-midi à Lunsburg pour un discours sur la question de la sécurité publique. Garantir la sécurité des citoyens est un devoir majeur de tout élu, particulièrement d’un leader d’exécutif local comme j’espère le devenir.

Les localités doivent donc mettre en place des politiques de lutte contre la délinquance et la criminalité afin de garder intacte l’autorité de l’État sur la question sécuritaire. Toutefois, la quête de rues plus sûres ne peut et ne doit pas être un prétexte pour réduire d’une quelconque manière les libertés individuelles des citoyens ou faire reculer l’État de droit.

À cet égard, nous devons avoir un regard intelligent sur la question de la vidéosurveillance de l’espace public. Bien sûr, la sécurité est absolument capitale. Bien sûr, prévenir les crimes et en réprimer les auteurs est le but de notre système judiciaire. Mais nous devons réaffirmer notre attachement aux droits fondamentaux inhérents à la citoyenneté saphyrienne, celui du droit au respect de la vie privée de chacun tout particulièrement. Non, nous ne souhaitons pas que la question de la sécurité soit un prétexte pour restreindre les libertés individuelles de l’immense majorité des citoyens qui agit sans rien avoir à se reprocher.

De la même manière, nous ne pouvons accepter que la question de la sécurité soit un prétexte pour un entamer un dangereux glissement vers un État plus autoritaire. Si la vidéosurveillance ne fera pas de nos localités des zones dictatoriales, sa banalisation reviendrait à accepter une entorse généralisée à nos principes démocratiques et à nos libertés fondamentales.

Alors pour cela, la Coalition des Mouvements Démocrates soutient un usage mesuré de la vidéosurveillance, là seulement où elle est nécessaire. Il existe d’autres leviers que nous souhaitons actionner pour garantir la sécurité des citoyens à savoir une police de proximité plus proche des citoyens, des dispositifs sociaux permettant d’attaquer la délinquance à la racine ou encore la vigilance citoyenne. En tous les cas, comme Ministre-Présidente, j’agirai pour que la vidéosurveillance dans l’espace public ne soit pas une généralité mais bien une solution réservée à des situations précises le nécessitant.

#JeVoteCMD #SécuritéPublique

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J’étais à Lunsburg aujourd’hui et j’ai eu l’occasion évoquer les relations que je souhaitais avoir avec les médias si j’étais élue Ministre-Présidente. Naturellement, les médias étant le relais entre l’action politique, je veux avoir des relations cordiales avec la presse afin de permettre que l’information sur les intentions et les actions du gouvernement local soient relayées au sein de la population le plus fidèlement possible à la réalité.

Mais je ne peux ni ne veux me contenter de bonnes relations de travail avec les journalistes durant mon mandat. Je veux également faire voter une loi sur les médias qui aura pour but de garantir l’indépendance et la liberté de la presse.

Cette loi comprendra un volet sur la garantie de la protection des sources. Un journaliste ne doit pas être intimidé parce qu’il ne veut pas révéler une source. Un journaliste doit pouvoir respecter sa parole envers les personnes qui choisissent parfois de garder l’anonymat pour dénoncer des situations graves. Nous devons autant garantir à ces sources la possibilité de rester dans l’anonymat sans subir de pressions, et nous devons empêcher que les journalistes et les rédactions subissent également ces pressions, qui sortent parfois du cadre légal par ailleurs.

Nous devons également prendre des mesures pour que la presse reste indépendante. Notre presse écrite et nos médias audiovisuels ne peuvent pas être concentrés entre les mains d’une poignée de personnes fortunées. Si la liberté économique reste une valeur fondamentale pour la CMD, nous voulons défendre les grandes libertés fondamentales des citoyens. Et si un nombre très restreint d’individus contrôle la quasi-totalité des médias, alors les valeurs de libertés de la presse et de liberté d’expression que nous chérissons seraient menacés, ce que nous devons éviter par une législation efficace.

#JeVoteCMD #LibertéDeLaPresse

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Bien que je sois logiquement déçue par les résultats dans ma Principauté ce soir, je ne peux que saluer notre incroyable progression. Nous passons de 4 à 21 sièges, faisant de nous la véritable force d’opposition au futur gouvernement conservateur.

Je salue bien entendu mon adversaire conservateur pour sa victoire, et j’espère, dans l’intérêt de notre Principauté, qu’il saura présider aux destinées de notre territoire pendant son mandat.

 Je dirigerai une opposition ouverte et sérieuse, résolument attentive à ce qui sera fait. Nous nous en tiendrons à ce que nous avons promis aux électeurs, et nous serons aussi digne que possible de leur confiance.

#Locales195 #JeVoteCMD

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Je crois parler tant en mon nom propre qu’au nom de tous les membres du Congrès Fédéral en souhaitant à sa Majesté Impériale Victor Ier un formidable Jubilé d’Argent.

Peu de personnes auraient été capables de redresser la confiance du peuple saphyrien dans l’institution impériale abimée par un vaste scandale il y a un quart de siècle. Par son intégrité et sa détermination, notre Empereur y est parvenu et a rétabli ce qui fait la force de nos institutions : leur continuité et leur stabilité. À travers son règne, sa Majesté Impériale incarne la résilience de notre système institutionnel, capable de dépasser n’importe quel soubresaut.

Puisse le Sort continuer d’accompagner notre Empereur dans sa tâche qu’il est appelé à exercer encore longtemps.

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En début de soirée, j’ai eu l’opportunité d’échanger à Hoysburg avec des citoyens sur l’état de notre démocratie et de nos institutions. J’ai eu l’occasion de revenir sur plusieurs idées que la Coalition des Mouvements Démocrates propose pour améliorer notre démocratie et rendre notre pays globalement plus fonctionnel.

J’ai particulièrement insisté sur la question des indemnités des élus et des hauts fonctionnaires. Aujourd’hui, depuis Ivan Cappelen, tous les élus fédéraux et membres du Conseil sont payés 1800 Augustis par mois. Il n’est jamais populaire pour une personnalité politique de proposer une augmentation de son salaire mais la CMD ose mettre les pieds dans le plat car nous estimons que cette rémunération n’est absolument pas digne des élus de la nation.

Nous devons regarder les choses en face : ce salaire est dissuasif. L’essentiel des personnes hautement qualifiées, largement diplômées perçoivent un revenu bien supérieur à cette indemnité proposée. De ce fait, aussi gratifiante que soit la perspective de servir son pays, nous devons reconnaître que beaucoup de personnes qui seraient éminemment qualifiées pour occuper des postes au sein de notre Parlement Impérial sont découragées par la perspective d’un lourd changement de leur niveau de vie. Je suis absolument convaincue que si nous voulons que l’Empire soit servi par les personnes les plus compétentes, nous devons amener le niveau de rémunérations des élus qui représente les lourdes responsabilités qui incombent à un élu fédéral.

Nous ne pouvons pas vouloir que l’Empire soit servi par d’autres personnes que des personnes compétentes dans leur domaine, qualifiées et prêtes à occuper des fonctions à responsabilité. Pour cela, nous devons accepter d’adapter le niveau de rémunération au niveau de qualification requis. Dans une entreprise, personne de compétent n’acceptera d’occuper un poste à responsabilité pour 1800 Augustis et, si il veut recruter, l’entrepreneur devra revoir son offre à la hausse. Il n’y a pas de raison que ce soit autrement dans nos institutions, en dépit des délires en la matière d’Ivan Cappelen.

Nous abolirons donc les dispositions prises par Ivan Cappelen sur la rémunération des hauts fonctionnaires pour enfin redonner de la dignité et de la hauteur aux institutions servant notre Empire.

#JeVoteCMD #RestaurerLaGrandeurDeNotreDémocratie

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J’étais à Lunsburg ce soir et lors d’une interview j’ai eu l’occasion de revenir sur l’action récente de Léon Hansen, Ministre-Président de Njördland, qui avait pris l’initiative d’exclure d’un débat et d’un vote 17 députés d’opposition sur une question pénale absolument cruciale : le retour de la peine de mort.

Sans parler de l’idée, déjà suffisamment nauséabonde en elle-même, cet évènement nous invite à nous interroger sur la pertinence de donner aux Ministres-Présidents le pouvoir d’exclure d’une séance, et même d’une législature, un député comme il le souhaite. Je suis une députée d’opposition dans ma Principauté d’Arcadie et je serais scandalisée que tout mon groupe politique se retrouve exclu d’un vote pour un comportement inadéquat pendant un débat.

En temps que nation démocratique, nous ne pouvons pas donner à une seule personne le pouvoir de réduire la force de son opposition dans l’organe ayant pour mission principal de réguler son pouvoir. Aussi, le dérapage de Léon Hansen doit nous permettre de mieux prendre en compte les impératifs démocratiques pour réformer ces procédures qui autorisent des écarts absolument scandaleux qui ne relèvent plus du maintien de débats parlementaires apaisés mais juste de pratiques despotiques.

Aussi, nous proposerons de mettre fin à ce pouvoir des Ministres-Présidents en leur donnant seulement la possibilité d’exclure un élu d’un débat. L’exclusion d’un vote requerra l’aval du Parlement Princier à la majorité absolue, à savoir 23 députés. Enfin, l’exclusion d’un élu de la législature nécessitera un vote à la majorité qualifiée du Parlement Princier. Un seul individu ne doit pas pouvoir faire passer en force un projet politique si il ne dispose pas des soutiens parlementaires nécessaires pour l’appliquer. Si un député menace réellement le déroulement du processus démocratique, ses collègues le reconnaîtront et agiront en conséquence. Mais un homme seul ne peut prendre cette décision seul sans recours rapide possible.

#JeVoteCMD #RestaurerLaGrandeurDeNotreDémocratie

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J’étais ce soir à Eiligsland où j’ai tenu une permanence pour répondre aux questions d’électeurs sur le programme de la Coalition des Mouvements Démocrates. J’ai notamment été questionnée sur la question de la sécurité. Car oui, la sécurité est l’un des premiers devoirs d’un gouvernement, fédéral ou local. Mais la Coalition des Mouvements Démocrates garde toujours en vue la question du respect des libertés individuelles. Nous ne voulons pas piétiner les principes de l’état de droit et les libertés individuelles de chacun pour des raisons sécuritaires.

C’est pour cette raison que nous prônons un usage modéré et raisonnable de la vidéosurveillance dans l’espace public. Bien sûr, nous savons que dans l’état actuel de son développement, la vidéosurveillance de l’espace public n’est pas une menace majeure aux libertés individuelles et ne remet pas en cause l’état de droit. Mais nous devons et voulons être vigilants. La généralisation dans tout l’espace public, urbain notamment, de ces outils pourrait représenter une menace. Je ne pense pas que le gouvernement doive pouvoir reconstituer l’agenda de chaque citoyen en quelques clics sur un ordinateur. Le principe de respect de la vie privée est absolument fondamental et nous voulons le défendre.

La vidéosurveillance massive et généralisée ouvrirait également un dangereux précédent en matière de piétinement de l’état de droit. Car si un jour un régime autoritaire devait voir le jour dans notre pays, je ne doute pas qu’il utiliserais massivement des outils de vidéosurveillance. Et je ne veux pas que nous construisions aujourd’hui des infrastructures qui pourraient servir à un régime plus autoritaire. Certains nous diront que nous sommes alarmistes mais les actions récentes d’un Ministre-Président montrent que nous pouvons nous inquiéter. Si la vidéosurveillance ne signifie pas que notre pays bascule dans l’autoritarisme, nous ouvrons la voie à une société de surveillance, nous baissons la garde et rendons à ceux qui rêvent d’importer le modèle politique borowenien chez nous la tâche plus facile !

Nous devons renforcer la sécurité en mettant des agents de police sur le terrain et en protégeant physiquement nos concitoyens, pas en donnant carte blanche à ceux qui voudraient instaurer une société de la surveillance massive.

#JeVoteCMD

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Ingeborg Wollen

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J’ai visité tout à l’heure un commissariat de la Police Fédérale dans le cadre de ma journée passée à Hoysburg. J’ai eu l’occasion d’évoquer les projets de la Coalition des Mouvements Démocrates en matière de sécurité.

Vous le savez, pour des raisons de libertés publique et individuelles, nous nous opposons à un usage renforcé et presque généralisé de la vidéosurveillance pour garantir la sécurité dans l’espace public. Cela ne fait pas pour autant de nous de dangereux irresponsables qui voulons abandonner complètement le sujet de la sécurité. Nous voulons assurer la sécurité de tous nos compatriotes saphyriens par une politique de présence de l’État sur le terrain.

Non, l’autorité de l’État n’est pas représentée par une caméra, qui est d’ailleurs plue efficace pour élucider les crimes que pour les dissuader. Nous voulons que les citoyens voient au quotidien ce que l’État peut faire pour les protéger. Il faut que les citoyens voient l’État dans la rue chaque jour pour se sentir protégés. Nous devons donc clairement renforcer les moyens humains de la Police Fédérale pour permettre de mettre davantage d’agents sur le terrain et ainsi garantir l’ordre. Notre future majorité recrutera pas moins de 10 000 agents pour la Police Fédérale en 10 ans, afin que l’État puisse être présent sur le terrain et se montrer, et ainsi agir réellement pour dissuader les crimes en amont.

Nous devons ensuite avoir un système judiciaire à la hauteur qui n’hésite pas à faire respecter l’État en prenant les sanctions qui s’imposent. Personne ne doit échapper à une peine prononcée par la justice du fait du manque d’infrastructures carcérales. Si la justice estime qu’une personne est dangereuse et doit être enfermée, alors les moyens doivent suivre. Nous aiderons donc l’État à s’affirmer en créant 5000 places de prison pour permettre à la justice de faire son travail et ainsi de garder un État en sécurité pour nous tous.

#JeVoteCMD