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Modérateur : Bradley Russell

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Nils Edvardsson
Ministre-Président de Wyvaldie
Ministre-Président de Wyvaldie
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Enregistré le : 12 juil. 2022, 01:49

Parti politique

11 oct. 2022, 00:12

MEETING DE CAMPAGNE - THEMATIQUE DE LA SECURITE



Pour la première action de sa campagne, le candidat local et ancien ministre d’Etat Nils Edvardsson se rend à Valmert, dans une ville à la fois moderne mais également en demande d’innovation. Comme l’ensemble de la population de cet état, Valmert devait lutter contre une véritable explosion de la toxicomanie et des actes de désespoir - causés selon lui par la précarité et à l’inaction des pouvoirs nationaux -. Certes, il était peu courant pour la gauche de parler de sécurité ; mais face à une droite navrante sous tous les aspects et à un centre trop occupé à se préoccuper de l’abandon au secteur privé, c’était à la gauche de prouver que la défense des citoyens saphyriens n’est certainement pas une valeur de droite ou de quelconque manière autoritaire.

Alors et pour l’occasion, une importante communication locale avait été mise en place. Les rues étaient tapissées des affiches de campagne du candidat de l’USE ; les artisans et sympathisants discutaient de ce meeting qui, à n'en pas douter, était un événement relativement rare dans l’histoire de cette ville. Et toute cette logistique avait fini par payer lorsqu'en arrivant dans la ville, le candidat progressiste fut accueilli par des salves d'applaudissements, des encouragements en prévision de ce qui s'annonçait comme étant l’un des moments les plus importants de sa campagne. Pour bien démarrer, il fallait frapper fort et marteler sa vision : unir l'État autour de grandes valeurs fondamentales, ne pas juger mais réformer.

Tout en étant sur le papier préparé à un tel engouement à son arrivée dans le territoire qu’il briguait, Nils n’en était pas moins ému et fut comme enivré par la vague positive provoquée par les espoirs d’un Saphyr en ébullition. Après la déception d’une coalition récemment trop terne à son goût et n’ayant pas assez amélioré la vie de l’Etat, la Wyvaldie méritait que la gauche dirige la prochaine coalition et impulse le mouvement d’un renouveau à la fois social mais également écologique ! Edvardsson ne s’élancait pas toutefois sans bilan, sans projet concret défendu et aujourd’hui en vigueur ; la loi sur la relance de l’Emploi avait sans nul doute été la plus grande loi de cette coalition menée par le PI, et c’est bien lui et l’USE qui en avaient été les acteurs. Oui, l’USE avait donc été le moteur de ce gouvernement, un moteur malheureusement bridé par un bolide terne et parfois indisposé à se mouvoir !

Plus égoïstement et toujours le regard tourné vers la conquête du pouvoir, ce cadre du parti principal de la gauche savait que les astres étaient alignés pour permettre la victoire des idées sociales dans le pays. Après une droite autoritaire, verticale et croulante de morbidité, des nouvelles têtes émergent de l’autre côté du spectre.

Une fois arrivé sur la scène en amont aménagée pour l’occasion, Nils fut soudain débordé par une vague de panique, sorte d’anxiété sociale à l’idée de s’exprimer devant des milliers de personnes venues pour lui, pour examiner son projet et voter - ou non - pour lui. La première impression est cruciale, c’est donc à lui et à lui seul de les séduire !

Avant de démarrer le meeting, une distribution de tracts et d’affiches a lieu, les drapeaux de l’USE et de la Wyvaldie sont disséminés partout - notamment là où les caméras peuvent retransmettre l’intervention -. L’objectif est clair : persuader par l’image et l’ancrage l’association entre gauche et territoire, le caractère presque lié de l’Etat et de l’USE. L’heure est donc à l’intronisation du candidat ; un jeu de lumières vibre au rythme de l’hymne wyvaldien, permettant un élan patriotique et fier de s’exprimer. Au rythme de l’hymne, les militants et militantes chantent et s’unissent par la voix.

Après plusieurs minutes sous ce rythme, la lumière s’éteint, le silence devient maître des lieux et des drapeaux cachés sous la scène sont alors distribués, pour clôre cette sorte de spectacle et permettre au candidat de la gauche de s’épanouir devant un public enjoué et acquis à sa cause. Et lorsque l’hymne de l’USE retentit, toutes les lumières se rallument, les drapeaux s’agitent et des chants se font entendre. L’enthousiasme est à son comble, le peuple appelle celui qui pourrait en être le représentant pour une action qui ne pouvait se conclure par un échec.

Derrière les rideaux, Nils Edvardsson observait la scène avec admiration - et une pointe d’angoisse -. Toute cette motivation, tout cet engagement, tout cet espoir étaient tournés vers sa candidature ! Au moment où le rythme semblait s'essouffler, il le savait : c’est désormais à lui d’entrer sur la scène, de présenter son programme et de ne pas décevoir. Une véritable mission de showman, d’animateur là où les dernières années n’avaient été consacrées qu’au travail de législateur et à la rigueur juridique. Plus de rigueur, mais de l’émotion pour convaincre et séduire !

Le candidat local fait enfin son apparition, dans un grand sourire et déclenchant une presque liesse d’une foule déjà bien préparée. Quelle ambiance, quel départ rêvé pour un parti autrefois en déclin et qui aujourd’hui semble porté par le charismatique Pendra. Une dynastie politique entièrement tournée vers les autres, là où la droite créait des familles de dignitaires gavées par le pouvoir et l’arrogance. Quelques sourires savamment disposés pour être rendus, quelques gestes d’affection déposés sans tomber dans l’excès de zèle. La Wyvaldie a besoin de soutien, mais pas d’être traitée comme un simple nourrisson. Un geste de recul. Une inspiration calme, un vide court mais intense pour mieux se jeter. Et là, le saut dans le vide.



Mes frères, mes camarades et amis,

Merci de répondre présent pour ce début de campagne, pour cette première intervention qui - soyez en sûrs - ne sera pas la dernière. Vous êtes incroyables, vous seriez capables de donner du courage au désespoir lui-même. Comment ne pas avoir les yeux qui brillent devant votre engouement, comment rester insensible et cynique devant cette envie de changement ? Je le sais, les dernières années ont été difficiles, j’ai pu y assister aux premières loges en étant votre ministre d’état et la réalité est la suivante : avec tout le respect que je dois au Parti Impérial, l’USE s’est battue pour arracher des conquêtes sociales et a été confrontée à une certaine inaction assurément néfaste pour faire face aux grands événements que nous avons eu à affronter. Je ne me dérobe pas de mon mandat ; nous avons eu de grandes réussites, mais menées par le camp de la gauche et de notre parti !

Notre territoire est splendide, jonché d’une réelle biodiversité et d’une fibre sociale inégalée. Parmi vous se trouvent mes proches, mes amis de toujours dans cette Wyvaldie que je chérie et qui m’a vu naître ! C’est pourquoi je ne peux me satisfaire de petits pas, nous devons rétablir notre grandeur et mettre fin à ce cercle dévastateur de précarité, d’insécurité et de disparition environnementale. Mais bien plus que le Parti Impérial, voilà notre véritable opposant : la droite menée par un Auber totalement déconnecté et aveuglé par son incapacité à gouverner notre nation. Lorsque les fumées vous menaçaient par leur ardeur, où était l’autorité centrale ? Sûrement trop occupée à communiquer sur la “transparence” du Conseil, transparence existant pour se substituer au vide abyssal du projet de l’ADP. Quand vous n’avez pas d’idées, détournez !

Si eux rêvent de ne rien faire, je ne souhaite pas être au pouvoir pour regarder le ciel, pour vous écoeurer et pour laisser dans l’histoire la trace d’un dirigeant local mauvais et livide. Je me tiens devant vous avec un projet concret, ambitieux et que je vais dès à présent vous présenter.


A ces mots, la foule présente applaudit l’entrée en matière du candidat Edvardsson, l’encourage à présenter son projet et à tenir ce rythme dans la suite du meeting. Légèrement ému, il laisse transparaître un léger tressaillement et reprend sur le même ton.

Ce projet, il a un nom, il a une forme, il a un visage : ce projet, c’est le Plan Fédéral de la Refondation ! Au programme, trois grandes thématiques qui nous guideront et qui concentrent les socles des enjeux fondamentaux pour la Wyvaldie : le retour d’un véritable filet social sur le plan de l’emploi et de l’insertion, la lutte contre le dérèglement climatique et ses conséquences sur notre écosystème, la protection des femmes, des minorités mais également de la population dans un moment où les indicateurs de toxicomanie et d’actes délictueux sont au plus hauts. Je le sais, certains sont sans doute circonspects de ce troisième point ; je vais pourtant vous prouver que les enjeux de sécurité et de défense des droits sociaux sont compatibles, sans paranoïa mais également sans naïveté.

Ces dernières années, je pense avoir prouvé mon envie de redonner du pouvoir aux plus précaires, de lutter contre les inégalités sociales en vous donnant des emplois, en protégeant les plus démunis et en évitant que vous ne tombiez dans une spirale de la misère. La loi sur le Relance de l’Emploi et la réinsertion allait dans ce sens, mais il faut aller beaucoup plus loin. Etre exhaustif dans les mesures, oser aller loin pour modifier en profondeur nos codes. Je n’ai pas peur de l’affirmer : sans changement radical de perspective, il n’y aura point d’innovation, point d’amélioration de votre situation.

Avant de démarrer la grande mesure de cette intervention, je tiens à vous transmettre un témoignage, et celui-ci vient directement d’un proche : c’est celui de ma soeur Eva, aujourd’hui en arrêt maladie et anciennement assistante sociale ici-même, à Valmert.


Avant de démarrer la narration, Nils prend un temps d’arrêt, laisse les militants se calibrer sur un rythme plus solennel et qui prépare la noirceur des événements à venir. Il reprend alors.

Il y a quelques mois de cela et alors que son travail était difficile mais profondément enrichissant pour elle, Eva fit la rencontre d’un jeune réfugié nommé Erling, marquant par l’éclat bleuté de ses yeux et l’innocence de son sourire. En quelques instants, il parvenait à mettre en confiance et à inonder la pièce de bienveillance.

Ancien animateur là où il habitait, celui-ci fut contraint de rejoindre le Saphyr après que sa famille ait rejeté son homosexualité, l’ait jeté dans la rue et la précarité. Sans emploi et sans filet, comment s’en sortir ? Il croyait trouver au Saphyr une terre d’accueil pour repartir de zéro, or il fut confronté à la xénophobie, aux comportements les plus inacceptables et à la violence de la rue. Très vite son homosexualité devint un danger et c’est après une tentative de viol qu’il se rendait ici, devant Eva pour appeler à l’aide et lui permettre de disposer de conditions de vies plus acceptables.

Touchée par son récit et grâce à son empathie sans borne, Eva finit par se résoudre à la réalité ; aucune loi n’avait été pensée pour accueillir des réfugiés économiques, rien ne pourrait lui être proposée et celui-ci finirait sûrement violé, maltraité voir exécuté. Alors, ma soeur finit par lui proposer officieusement de l’accueillir chez elle, en l’aidant à se reconstruire et à trouver un emploi stable grâce à ses études étrangères.

La fin du danger ? Non, plutôt le début du cauchemar. Après avoir entamé un certain quotidien stable et amical, Erling débuta ses entretiens d’embauche et fit face au racisme, à des refus inexplicables et tous plus scandaleux les uns que les autres. Malheureux de cette situation, Erling finit par faire la rencontre d’un groupe d’amis, lui faisant découvrir la vie en soirée, certaines substances “de la rue” qui lui permettaient temporairement de sortir de son malheur.

Très vite, ce qui n’était qu’une mauvaise habitude devint un danger pour lui, inquiéta Eva qui le voyait sombrer chaque jour un peu plus dans la drogue et avec un entourage toxique. Comment pouvait-elle réagir ? Si elle appelait l’aide sociale en leur informant de sa situation, il serait renvoyé chez lui ou à la rue. Alors, elle ne pouvait qu’essayer de l’aider, de ne pas tomber plus bas encore ; c’est un soir de vendredi que son malheur bascula à jamais dans l'irréel, dans le drame le plus féroce. Drogué et épuisé, Erling commit un acte malheureux ; en hurlant dans la rue et en criant sa douleur, il attire plusieurs agents de police qui passaient par là, et lui ordonnent d’arrêter. Un manque de lucidité provoqué par la drogue ? Il leur répondit que ces agents ne pourraient rien faire pour l’aider, qu’ils ne servaient à rien et qu’ils ne valaient rien. Tout alla alors très vite : collé au sol pour “injures à agent”, il se fit étrangler et mélangé à son état qui nuisait à sa respiration, il finit par s'étouffer et succomba sous les bras racistes d’un représentant de l’autorité de la Wyvaldie. Quelle horreur, quelle honte !

Après ces événements, Eva ne fut plus jamais la même ; brisée par le décès de celui qu’elle considérait comme son protégé, un homme tombé dans le cercle de la précarité et massacré par la froideur du racisme, par la folie de la haine des autres. Un cocktail de désespoir qu’elle ne pouvait évidemment encaisser sans broncher ! Aujourd’hui, son regard est différent, comme un ciel ayant perdu sa lumière et son éclat. Ma soeur, âme d’amour et de douceur est désormais abimée par le vice de l’absence de protection sociale et le cercle infernal des discriminations. Si vous accordez la majorité à l’USE, cela ne sera plus qu’un lointain cauchemar.


Après ce long témoignage, Nils s’arrête et jette un oeil dans la foule ; les coeurs semblent lourds, les regards sont teintés d’une fine couche de larmes et le rythme autrefois guerrier est maintenant mortifère. Mais c’est en assommant son public que le candidat local pouvait mieux les relever, leur proposer un plan permettant de sortir de ce morbide. Volontairement, celui-ci laisse une interminable minute de silence durer, puis reprend non sans gravité.

Oui, vous m’avez bien entendu : touché jusque dans ma propre chair, je ne laisserais plus ce genre d’actes se reproduire. Comment faire pour lutter à la fois contre la toxicomanie, l’insécurité - Erling avait subi une tentative de viol une fois homosexualité révélée -, les cercles de précarité et le racisme au sein de notre population ? S’il est évident qu’une mesure ne règlera pas tout et devra être complétée par un ensemble de mesures ultérieurement présentées, voici l’essentielle et que je vous présente aujourd’hui : nous légalisons le marché du cannabis et des drogues dites “douces”, dans un cadre strictement encadré, interdit aux mineurs et ayant un antécédent médical lourd sur les addictions ! Dans le même temps de cette légalisation, une taxation à hauteur de 30% sur le prix sera mise en place, dans l’objectif de dissuader un recours à cette substance. L’ensemble des revenus de cette taxe reviendra aux hôpitaux de l’Etat, et serviront à la mise en place de structures sanitaires de désintoxication, d’aides sociales à la fois pour les consommateurs mais également pour les vendeurs de cette drogue.

La mesure a plusieurs objectifs : en régularisant le marché du cannabis et autres drogues douces, nous coupons les cercles délictueux et “de la rue” d’un trafic illégal, avec tous les comportements d’insécurité et de risques légaux qui vont avec. Nous permettons aux forces de notre Etat de se remobiliser sur d’autres enjeux, plus forts: la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, une brigade de proximité pour renouer le lien entre les citoyens. En légalisant, nous surveillons également la provenance et la “qualité” des produits, nous encadrons les prix pour éviter que les plus précaires doivent commettre des actes parfois criminels pour se doter de ces substances. Nous devons partir d’un constat simple : l’interdiction n’entrave en rien la consommation, mais accroît les risques sanitaires et sécuritaires. Nos dogmes doivent en conséquence changer.

Et surtout, ce qui était auparavant un enjeu sécuritaire avec tous les dangers qui vont avec devient un enjeu sanitaire, avec une gestion scientifique d’aide aux malades, de lutte contre les comportements addictifs et de sortie de précarité ! L’ensemble des cellules associatives qui se chargeaient de cette tâche serviront désormais de lien entre l’état le peuple, avec une allocation spécifique pour la réhabilitation et l’aide matérielle et immatérielle aux plus précaires, aux sans domiciles. Lutter contre l’insécurité et les trafics n’a pas à passer par la répression et l'oppression, cela peut passer par la protection des habitants, et le retour d’un filet social.

En entendant cette proposition, les citoyens exhultent, applaudissent Nils Edvardsson et semblent réellement convaincus par la mesure ; le cœur réchauffé et enorgueilli, celui-ci démarre donc sa conclusion.

Bien, il est l’heure de conclure ce meeting, en vous remerciant pour votre accueil et la chaleur dont vous avez fait preuve aujourd’hui. Nous sommes au début de la campagne, et vous avez eu la présentation de ce à quoi ressemblera la suite de celle-ci ; il n’est pas l’heure de célébrer ou de croire qu’une quelconque victoire est assurée, la bataille pour la préservation de nos acquis sociaux sera difficile mais si vous maintenez ce niveau d'enthousiasme, rien n’est impossible. J’encourage toute personne souhaitant s’engager à mes côtés pour nous soutenir à s’inscrire sur le site de la campagne, à se joindre à notre petit événement post-meeting et à s’enregistrer auprès de mon équipe, pour en faire partie !

Merci à tous, et que le social l’emporte sur l’individualité !


Sous des trombes de cris et de manifestations d’affection, l’hymne de l’USE retentit à nouveau, menée cette fois-ci par la voix de Nils Edvardsson qui s’est joint à la foule pour l’occasion. Un véritable moment d’unité pour la gauche, pour des concitoyens du même état et qui rêvent au même projet pour l’avenir. Une fois cette musique entonnée et les poignées de mains traditionnelles serrées, Nils va à la rencontre informelle des plus fidèles militants, les enregistre cette fois-ci en personne dans le registre de la campagne et discute avec eux de son premier mandat aux côtés de Mila Knudsen. L’heure de quelques anecdotes parfois bien senties, parfois plus douces et sans jamais manquer de respect à une personne qu’il respectait malgré les désaccords. En revanche, cette réunion informelle ressemblait à un réquisitoire en bonne et dûe forme contre le gouvernement Auber, contre un Conseil qui n’avait aucune honte à se montrer indigne et faisait le déshonneur du Saphyr. Evidemment Nils leur parla de la candidature de Pendra, faisant ainsi monter en eux l’espoir de voir le Saphyr plonger à gauche, à la fois sur le plan local mais également sur le plan national Une vague rose, une vague plus que jamais nécessaire pour que le pays puisse retrouver sa gloire d’antan.

Après ces moments intenses en émotion pour le candidat de Wyvaldie, celui-ci quitta cette belle ville pour se diriger vers le chef-lieu de la Wyvaldie, là où il donnerait sa deuxième intervention de la campagne sur le sujet de l’emploi et de l’insertion. Un sujet qu’il maîtrise ; son thème de prédilection, la marque de fabrique de son USE locale dominée par une certaine aile gauche mais qui ne coupe d’aucun sujet tendu.




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