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Cité des Congrès de Lesrenati

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Bradley Russell
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Enregistré le : 13 juil. 2019, 16:24
Adresse : Hôtel de la Principauté de Wyvaldie
Ville de résidence : Odyssia (Wyvaldie)

Parti politique

Décorations

21 févr. 2020, 11:13

Cité des Congrès de Lesrenati


Cette salle de plusieurs centaines de places accueille régulièrement des colloques ou des séminaires sur des thématiques diverses.

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Chef de la Très Loyale Opposition au Conseil Impérial
Sénateur-Maire USÉ d’Odyssia


Ancien député et Ministre-Président de Wyvaldie
Ancien Haut-Trésorier Impérial
Ancien Procureur Impérial

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Bradley Russell
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Décorations

21 févr. 2020, 11:13

Bradley avait été invité à Lesrenati pour un colloque sur la société de demain. Il avait accepté un discours en public sur le thème du progressisme.

Assez applaudi par les 1800 spectateurs, il rejoignit sur scène le journaliste qui animait l’évènement ainsi que deux responsables associatifs, tous prêts à poser des questions au candidat. L’animateur introduit alors le candidat qui commença alors son discours.


Russell : Mes chers amis,

Je veux déjà vous remercier pour votre accueil chaleureux, et évidemment les organisateurs de ce colloque d’accorder aux socialistes une tribune pour exprimer sa vision sur la construction de la société de demain.

Depuis sa création, l’USE milite pour de plus grands progrès pour la société de l’avenir. Je prends d’ailleurs pour preuve l’article 1 de nos statuts qui affirme que notre mouvement porte deux valeurs : l’écosocialisme et le progressisme. Nous sommes tout naturellement des progressistes et nous l’avons toujours été.

Ce qui le montre tout d’abord, c’est nos grandes actions. En une mandature, la gauche ne s’est pas contenté comme l’avait fait avant elle la droite de multiplier les traités de libre-échange. La gauche a agi pour de grandes avancées, malgré les ridicules tentatives d’obstruction parlementaire de l’ADP, qui a fait le choix de ne pas mettre le moindre texte aux voix.

Mais ce qui est fait, enfin pas fait en l’occurrence, est fait. Parlons, puisque je crois qu’il s’agit du thème de ce colloque, de l’avenir. Car, plus que jamais, les socialistes sont les mieux placés pour construire une société nouvelle société.

Car, du fait notamment de la prédominance de la foie constantine, notre société est restée sur des dogmes et des fondements vieux et au combien arriérés face aux autres pays développé. Sur le plan social tout d’abord, je rappelle que la grève est interdite dans la fonction publique. Dans quel pays démocratique des dizaines de milliers d’hommes et de femmes sont privés de leur liberté fondamentale de se battre contre des décisions scandaleuses? Dans quel nation démocratique s’affranchit-on des droits des travailleurs sous prétexte qu’ils sont financés par l’état. Nous allons abolir cette terrible discrimination entre les travailleurs du service public et les travailleurs du privé. Défendre les fonctionnaires, ce n’est pas faire quelques beaux discours pour les soutenir puis les priver du droit le plus fondamental d’expression des travailleurs.

Les droits des travailleurs, parlons en d’ailleurs. Les salariés peuvent travailler, sans compter les heures supplémentaires, 42 heures par semaines. Dans quelle nation développée est-ce tant? Dans quelle nation développée on applique un arsenal législatif d’un autre temps, que les nations civilisées, même largement dominées par le capitalisme, ont choisi de répudier? Alors oui, nous sommes fiers de proposer la rupture. Alors oui, nous sommes fiers de défendre les travailleurs de ce pays et leurs droits, trop souvent maltraités.

Mais le progressisme, c’est aussi une vision de la société. Nous nous battons pour une société qui ne soit pas le reflet de dogmes religieux mais bien de la liberté de chacun. Je respecte avec la gauche depuis toujours le droit de chacun d’avoir ou non un Dieu. Je respecte avec la gauche depuis toujours le droit de ceux qui croient à adopter une conduite guidée par ses croyances. Mais je ne crois pas en une institution moralisatrice pour ceux qui ne croient pas. La liberté doit être le maître mot. Jamais, nous ne devrions nous abaisser à nous laisser dicter une conduite par une l’institution religieuse saphyrienne.

Et la gauche a le courage de faire face. Nous avons ouvert, ici en Wyvaldie, aux personnes de même sexe le droit au mariage et à l’adoption. Nous avons résisté aux pressions de l’institution constantine saphyrienne. Je respecte plus que tout les saphyriens qui croient. J’ai cependant de bien plus fortes réserves, sur l’instrumentalisation de leur foie par une institution qui a notamment pris très vite position pour le maintien en poste d’un Empereur coupable selon toutes vraisemblances de collusion avec un pays étranger. Alors Président du Conseil, je ne céderais pas aux pressions d’une institution auto-proclamée qui instrumentalise la pensée libre des millions de saphyriens. Je gouvernerais avec l’appui de vos suffrages, avec ou sans une institution archaïque.

Jamais nous ne devons oublier que ce qui tue notre société : c’est l'immobilisme. Osons aller de l’avant, arrêtons de baser toute notre société sur des traditions dont beaucoup de nos concitoyens veulent aujourd’hui s’affranchir. Notre gouvernement est le plus progressiste de l’Histoire saphyrienne. Alors oui, les plus grands patrons s’en plaignent. Alors oui, on entend Paul Sullivan déverser sur les réseaux sociaux sa haine du Conseil Impérial en place. Mais à tous les travailleurs de ce pays : êtes vous favorable à une amélioration inédite de vos droits et de vos conditions de travail? Si c’est le cas, inondez les urnes de vos bulletins de gauche, de bulletins USE!

Pour le véritable progrès : social, sociétal et environnemental, il n’y a que le vote USE. Justifions le statut de grande démocratie développée de cette nation. Faisons de nous une nation puissante et respectée, non pas uniquement par la taille de son armée mais surtout par la force de ses esprits.

Alors n’hésitez pas : cette année, le bulletin de l’avenir de ce pays : il est écosocialiste.

Je vous remercie.

Bradley fut très applaudi par l’assistance. Il salua la foule puis quitta la scène pour rejoindre les coulisses et débriefer le discours avec son équipe.
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Vilgot Hölmstom
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Enregistré le : 24 juil. 2019, 01:08

24 janv. 2021, 18:35

La foule assise face à lui, Vilgot pouvait commencer son discours tandis que les lumières commençaient à s'éteindre dans la salle, à l'exception notable peut-être que la lumière de la scène, parce qu'il était évidemment plus pratique au spectateur de voir qui lui parlait. Le vieil homme à l'accent reconnaissable parmi mille, qui roulait harmonieusement les r, s'adressa avec la même joie et la même sympathie à son auditoire qu'aux triviales gens.

Mes très chers camarades,

Ce soir, je suis venu vous dire que la droite s'en va. Non pas de sa propre volonté puisqu'elle n'a qu'une idée en tête : garder le pouvoir. Et que nous autres, communistes, comme l'a si joliment dit le camarade Ivan, n'en avons qu'une autre, celle de vous le rendre. Vous allez me demander : Le pouvoir au peuple, comment ? Je ne vous ferais pas aujourd'hui de leçon de démocratie directe, pas aujourd'hui car c'est à un autre qu'on a confié la tâche de défendre les tribunats, ces instances que nous avons créé avec l'ensemble des forces de la gauche, pour défendre les individus contre l'État lorsque celui-ci devient oppressif. Comme lorsque, par exemple, il supprime le statut de fonctionnaire, ou bien qu'il se met à taxer frénétiquement tous les revenus, y compris en dessous de 100 Augustis par mois et par personne. Avec ce gouvernement, non seulement, on ne vous donne rien mais en plus, on vous en prends constamment. Tous les saphyriens et toutes les saphyriennes qui vivent modestement le savent, le parti communiste n'a fait que les aider à sortir de la misère, à se former et à intégrer des professions intellectuelles. Nous avons remis en marche l'ascenseur social que Madame Sullivan-Pettersen, au nom du libéralisme, a définitivement mis hors service. Définitivement ? Non ! Le progrès ne s'arrêtera jamais et, partout il se trouve des communistes pour les défendre, les peuples de la Terre se mettent en mouvement et s'arment intellectuellement et électoralement contre les pouvoirs arbitraires et aux ordres d'une classe dominante et mondialisée qui ne fait que vampiriser d'écho en écho, les pays du monde entier. La bourgeoisie antinationale, nous la condamnons et nous la réprouvons catégoriquement. Est-ce pour cela qu'il faut appliquer un monopole d'État sur tout secteur économique ? Non, bien sûr que non. Les communistes n'ont jamais aspiré à cela et nous n'appliquerons jamais cela.

Que demandons-nous alors ? Nous demandons en premier lieu, l'extension des nationalisations à tous les secteurs nationaux qui méritent que la nation en récupère le contrôle. Nous n'en pouvons plus de ces industries délocalisées, de ces emplois supprimés, de ces postes détruits par les puissances de l'argent, à la botte du régime fédéré. Les Sullivan sont de ceux-ci qui s'enrichissent sur notre dos pour mieux importer les fonctionnements inégalitaires et antinationaux de la Fédération-Unie. Monsieur vit dans un ranch, le père possède une Holding et Madame fait du management au sommet de l'État. À quand l'économie saphyrienne dirigée selon la logique et les théories économiques saphyriennes ? Sommes-nous plus bêtes ? Sommes-nous plus stupides aux yeux de ces gens-là pour être incapables de penser de nous-mêmes, le meilleur système national qu'il nous faut et qui conviendrait ? Ces gens-là doutent de tout ce qui fait le Saphyr et ne s'en remettent aveuglément qu'à ce qui est étranger et provient de l'horreur nationale qu'est la Fédération-Unie. Ils doutent des capacités de nos économistes. Ils doutent des capacités de notre nation à se gérer d'elle-même et non selon les bons ordres d'un pays supérieur. Ils doutent des capacités de nos travailleurs à gérer eux-mêmes les entreprises et préfèrent les mettre entre les mains de super-patrons étrangers plutôt qu'entre celles des honnêtes travailleurs du Saphyr. Ils doutent des capacités de nos services publics et de l'intérêt commun. Moi, je n'ai aucun doute sur les capacités extraordinaires d'une nation exceptionnelle qu'est le Saphyr. Je n'ai aucun doute sur la force immense et l'intelligence solide de nos économistes, de nos sociologues et de notre peuple laborieux.

Une fois que nous aurons étendu à tous les services qui nécessitent par stratégie ou par importance, la nationalisation, comme les premières matières, comme les énergies, nous passerons au stade du développement qualitatif de notre économie nationale. Quelle a été la stratégie de la droite et du centre ? Laisser en plan et sans moyens nos administrations et nos entreprises publiques afin qu'elles se dégradent et qu'elle puisse ensuite arriver comme une fleur et annoncer que la meilleure chose à faire c'est de privatiser. Et encore une fois, elle aura volé le bien commun des saphyriens et des saphyriennes pour le donner sur un plateau d'argent et avec un joli nœud, aux patrons fédérés. La Présidente du Conseil feignait de craindre l'Union de Novgrad et nos liens étroits, pourtant qu'a t-elle fait, sinon asservir nos travailleurs aux diktats de Saint-Paul ? Toute sa politique, toute sa pensée, toute la finance qu'elle contrôle, elle et sa famille, tout cela ne va que dans le sens de l'ennemi ; du financier étranger qui veut prendre au Saphyr ses forces vives, le fruit de son labeur pour l'exporter ensuite et ajouter l'appropriation, le pillage ! Ne laissons pas faire l'ennemie intérieure et empêchons-la pour longtemps de s'attaquer à la qualité de nos biens communs. Réduire la qualité des entreprises publiques aujourd'hui, c'est justifier leur démantèlement et leur vente aux milliardaires fédérés demain. Alors nous proposons d'inclure la concurrence dans nos services publics et dans ce qui fait la colonne vertébrale de nos biens communs.

Comment sera cette concurrence ? Elle se concrétisera par la division en branches rationnelles de nos entreprises publiques qui seront alors en concurrence les unes des autres pour récolter les subventions publiques et les investissements qui vont avec. Chacune devra surpasser l'autre et chacune sera amenée à s'améliorer constamment. Nous appliquerons cette mesure aux industries nationales, du fer, du charbon et de toutes les productions dont nous avons nationalisé la production. C'est-à-dire des industries dont nous avons protégé les emplois nationaux. Si nous ne l'avions pas fait, que serait-il advenu ? Nos entreprises qui souffrent d'un gros désavantage au regard de l'économie mondiale, auraient périclité et les emplois auraient été détruits. Quel est notre gros désavantage ? Celui que nous faisons en sorte que nos travailleurs et nos travailleuses puissent vivre de leur travail. En Fédération-Unie, on presse et on oppresse le salarié jusqu'à ce qu'il n'ait plus que la pauvreté pour l'accueillir, les emplois sont rares, précaires et très peu rémunérés. Au Saphyr, on protège et on préserve l'emploi jusqu'à ce que chacun en ait trouvé un qui lui convienne. Les emplois sont plus nombreux et mieux rémunérés. Que pouvons-nous vouloir de plus ? La qualité du travail effectué ! Et c'est en ce sens que nous devons mettre en concurrence qualitative, nos services publics et nos entreprises publiques. Pour protéger la qualité et, par là, protéger nos emplois, nos industries et notre patrimoine qui serait délocalisé, détruit et démanteler par les financiers étrangers sitôt privatisation faite, pour protéger ce qui fait battre le cœur du Saphyr, nous n'avons qu'une seule solution ; la concurrence qualitative ! Et c'est ce que nous vous proposons à tous les échelons de l'économie. Dans l'économie socialiste, c'est-à-dire publique et répondant à des plans : la concurrence qualitative d'entreprises publiques pour que jamais la qualité ne se réduise. Dans l'économie capitaliste, c'est-à-dire privée et répondant à l'accumulation capitalistique et à la recherche de profits : la concurrence qualitative d'entreprises privées de taille modérée.

Pourquoi dis-je que nous voulons la concurrence partout ? Eh bien parce que le problème du public ou du privé, n'est pas la possession en soi des moyens de production. La qualité ne chute pas si c'est l'État ou le privé qui possède. La qualité chute lorsque la concurrence est vaincue et qu'un monopole s'installe durablement. Voilà pourquoi la division publique des entreprises devra s'accompagner de lois anti-trust pour diviser également les grandes entreprises qui étouffent les petits commerces, les entreprises modestes et les jeunes entreprises innovantes. Quand un terrain est occupé par des Holdings comme celles des Sullivan, il n'y a plus de place pour le développement et la qualité pique du nez. La marque a pour effet de séduire et de donner l'impression ou le souvenir d'une qualité qui s'érode avec le temps si l'entreprise privée ou publique n'est pas contrainte à devenir meilleure à chaque instant. Tandis que l'industrie publique doit vivre pour protéger nos emplois traditionnels qui ne seraient pas assez compétitifs sur le marché mondial mais qui forment la colonne vertébral de notre culture saphyrienne, l'industrie privée doit vivre pour laisser à chacun la chance de réussir. Mais l'un comme l'autre des objectifs ne réussira pas si nous centralisons tout et si nous homogénéisons tout. La concurrence, voilà le remède ! La concurrence, voilà le moteur du développement et l'huile pour que le moteur ne s'engraisse pas ; voilà c'est qu'est, tout à la fois, la concurrence qualitative. Et elle ne peut s'épanouir et exister si continuent de se perpétuer trusts et monopoles. Démantelons, démantelons, démantelons ! Comme un arboriste coupe les feuilles énormes des sommets pour que voient la lumière les pousses prometteuses !

Vive le Saphyr !

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Hannah Saether
Citoyen
Messages : 43
Enregistré le : 12 févr. 2020, 18:09

Parti politique

27 janv. 2021, 09:20

Hannah Saether, ancienne Haute-Consule Impériale qui briguait la Ministre-Présidence de la Principauté, continuait de sillonner la Wyvaldie dans l’espoir de conserver à gauche ce bastion menacé.

Elle avait pris rendez-vous avec une association d’élues de Wyvaldie qui s’était réunie dans la Cité des Congrès. Hannah Saether, qui avait été membre de l’association quand elle avait dirigé la Principauté.

Applaudie à son arrivée sur scène, elle prit place au pupitre pour un discours d’une petite heure. Après plus de cinquante minutes à la tribune, elle en vint au meilleur passage, celui de sa proposition phare pour ces élues.


Mais maintenant, les choses doivent changer mesdames. Nous devons agir au plus tôt pour être plus nombreuses et en nombre comparable à nos collègues masculins. Car non, je ne suis pas une égalitariste absolutiste. 55% d’hommes ou de femmes sur une liste ou dans une assemblée me va très bien. Mais nous avons laissé assez de temps au système pour prouver sa bonne foi mais, trop souvent, cette occasion n’a pas été saisie, forçant donc les défenseurs de l’engagement des femmes en politique à légiférer. L’USÉ propose donc d’imposer des listes électorales paritaires, tant pour le Sénat Impérial que pour les différentes circonscriptions du Congrès fédéral. Évidemment, nous prendrons des dispositions pour que les places d’éligibles soient également réparties de manière paritaire, nous ne voulons pas que les femmes servent de candidature de témoignage en fond de liste pour contourner les normes. L’objectif est vraiment de permettre aux femmes d’être élues pour avoir des institutions représentatives, avec des nombre de femmes et d’hommes comparables. Ce n’est plus possible que l’on considère ce pays comme un modèle de féminisation sous prétexte que nous avons une femme à la tête du gouvernement. C’est une bonne nouvelle pour notre cause mais ça ne justifie pas d’arrêter le combat aux autres échelons. Et d’ailleurs, permettez-moi de me réjouir du fait que les candidats socialistes aux trois principautés dans lesquelles nous sommes les mieux placés soient des femmes. Alors osons l’audace et osons l’égalité pour avoir enfin une vie politique représentative de la population.

La candidate fut ovationnée après ces mots pendant près d’une minute avant de conclure son discours puis de repartir en campagne.

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